Ecrire [Poster un message]

@ juste envie d'écrire ...    [230390] posté le 20/10/2015 00:01:00 par MelleH, Qqs mots de Jacques Brel:

´ je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns ´

À toutes , Que cette nuit soit douce et remplie de beaux rêves
🌟;

Berenice

carambole   [230341] posté le 18/10/2015 08:33:00 par cocoambre, Ce n'est pas de moi mais de Sénèque . en règle générale, je ne suis pas très poétique ;-)

corinne

Pink Ribbon   [230339] posté le 17/10/2015 21:22:00 par SunnyLife, Je ne fais pas partie de cette association qui est à l'origine des campagnes "octobre rose". Mais je m'étais rapprochée d'eux, car lorsque j'étais en chimio, ils avaient laissé des brochures dans le service d'onco. Il y était indiqué que pilule contraceptive n'avait aucun lien avec les cancers du sein.
Cela m'avait fort énervée, et je pensais qu'il y avait derrière du lobbying pharmaceutique.
Bref, tout ça pour dire que chez Pink Ribbon, j'ai rencontré des personnes qui veulent sincèrement aider la cause du cancer du sein.
Les buts premiers de Pink Ribbon, sont les campagnes de dépistage, et la recherche.
Octobre rose, leur sert à tenter de convaincre les femmes de se faire dépister, et récolter de l'argent pour aider au financement des appareils dans les hôpitaux. L'argent sert aussi à financer des projets de recherche. La recherche n'est pas seulement faites dans les labos qui travaillent à l’élaboration de nouveaux médicaments. Il y a aussi des labos de recherches universitaires, qui reçoivent leur financement. (Ma fille étudiante en biologie, travaille sur l'adn des huitres.... cela paraît bien lointain du cancer.... et pourtant c'est en étudiant toutes les espèces du vivant, que les chercheurs font des découvertes qui ont ensuite des applications en pharmacie).
Maintenant, Pink Ribbon est une association énorme et il y a des choses à redire évidement. Mais bon, l'idée de fond est quand même louable.
Quand on est dans la tourmente des traitements et des opérations, on a pas toujours envie de tout ce "Rose". Mais bon, après nous, il y a nos enfants, et je voudrais tant que le dépistage devienne enfin efficace et fiable, et surtout que la recherche trouve enfin le remède qui nous guérira vraiment.

zaboton   [230338] posté le 17/10/2015 20:37:00 par Carambole Gros bisous et douce soirée. Toute mon amitié, Arielle🍀;🍀;🍀;🍀;🍀;🍀;❤;️;☀;️;💋;

Ksenya91   [230337] posté le 17/10/2015 20:16:00 par demdo Merci pour le description de ton parcours, j'ai déjà éliminé pas mal de cigarettes réflexes et souvent je fume dehors. J'ai une cigarette électronique . Ce qui est fou c'est que pendant les chimio la seule chose qui n'avait pas changé de goût c'était ma "vraie" cigarette.
Bon mon problème maintenant c'est en fait la gestion du stress, mais j'y travaille , j'y travaille et ne désespère pas. Le médecin hypnotherapeute veut me mettre sous champix, apparemment comme je veux rester dans le contrôle l'hypnose a peu d'effets sur moi.
Bonne soirée
Dominique

carambole   [230336] posté le 17/10/2015 20:15:00 par zaboton Je comprends ce que tu as voulu dire!
🍀;;🌺;;

ps: tu vois,je t'ai même copié tes dessins!
bises

cocoambre   [230335] posté le 17/10/2015 20:09:00 par Carambole "Apprendre à danser sous la pluie"... C'est très poêtique, Corinne, et ça me correspond tout-à-fait !
Bisous,
Amitié à toutes. Arielle🍀;🌺;❤;️;

Fanou94   [230334] posté le 17/10/2015 20:07:00 par demdo Merci d'avoir pris le temps de nous faire partager ce texte,
Amitiés et bonne soirée et nuit à toutes.
Dominique

fanou 94   [230333] posté le 17/10/2015 19:54:00 par zaboton Merci pour ces belles paroles si bien rapportées.
bonne nuit à toutes

Demdo- Arreter de fumer   [230331] posté le 17/10/2015 17:09:00 par ksenya31, Dominique,
Pour arrêter de fumer, je m'y suis prise en plusieurs temps...
D'abord, j'ai stoppé les réflexes de la cigarette : la cigarette-café, la cigarette-telephone, ... accompagnée par une psy-hypnotherapeute qui m'a fait reconnaître ces réflexes et m'a appris à les deconstruire.
Peu après, je me suis forcée à sortir dehors pour aller fumer, ce qui a considérablement réduit ma consommation. Je me suis retrouvée dans le froid à cogiter sur la maladie (j'allais être opérée).

Le jour de l'operation, je suis passée au nicospray. Toujours avec la même psy, j'ai réfléchis à ce que je cherchais dans la cigarette : c'etait l'aspiration. Le nicospray était donc pour moi...
Petit à petit, j'ai réussi à m'habituer à la vie sans tabac. Mais pas sans nicotine...

J'ai donc fait appel à un tabacologue recommandé par l'oncopole. Pour lui, l'essentiel était d'arriver à passer différents caps avec le substitut nicotinique avant de le laisser tomber :
- d'abord les gens qui fument dans la rue ou aux terrasses des cafés : au début, la fumée m'ecoeurait, maintenant je suis indifférente,
- Ensuite le retour au travail avec les collègues et les étudiants qui fument : j'y suis et je dois avouer que je suis contente d'eviter les "pauses cigarettes" et que j'ai du mal avec les haleines de fumeurs.
- enfin, l'etape qui me reste : la gestion du stress. Et la, le tabacologue me renvoie vers l'hypnotherapeute pour trouver d'autres réflexes quand d'un coup, j'ai une furieuse envie de nicotine face à une difficulté.

Bref, un parcours du combattant dont je ne suis pas encore sortie... mais au cours duquel je me suis aperçue que le tabac constituait un écran derrière lequel je cachais pas mal d'angoisses, de peurs. En ce sens, je pense que la thérapie EMDR que je suis actuellement va m'aider aussi.

Bon week-end,
Clara

en rire ou pas , octobre rose ou pas    [230330] posté le 17/10/2015 17:00:00 par cocoambre, et si on échange c'est que l'on vit .....

pour moi 2 choses :

d'abord même si je ne suis pas qq'un qui subit en temps normal , j'ai plutôt l'impression de subir mon traitement ( car je ne viens pas du monde médical) et pourtant je tanne les médecins pour avoir des infos sur mon traitement (savoir ne veut pas dire décider) et pour le coup j'évite les bourdes administratives ;-)

ensuite si on écoute les médias ( et c'est en ce sens qu'ils me gonflent) je n'aurais jamais du avoir ce cancer : alimentation saine, sportive, mince, non fumeuse, pas d'alcool, etc... et je dis aujourd'hui que c'est pas de chance et je n'aspire qu'a retrouver ma vie d'avant ou tout du moins la continuer.

et dans notre famille on est très "cash" dans nos propos ce qui peut choquer parfois....et je préfère rire de mon cancer que d'en pleurer

Maintenant chacune réagit, vit comme elle peut et si qq'un pense que c'est mieux de ne pas manger du pamplemousse ou de manger je ne sais quoi pour ne pas récidiver : pourquoi pas ?

si qq'un pense que de se moquer de cette maladie ou de ne pas en parler de peur de l'attraper : pourquoi pas ?

et je me dis que tant que je n'ai pas mal , rien n'est grave ( au grand désespoir de l'infirmière de suivi) qq'une pourrait dire que c'est une façon de se battre ( peut être) moi je dirais que je continue à vivre avec p'tit crabe ou sans lui......

je fais beaucoup de course à pied mais aujourd'hui je sais que je ne courrais pas pour octobre rose et pourtant je ne me suis jamais sentie aussi proche des femmes atteintes d'un cancer parce que je sais (un peu) ce que chacune vit.

je sais aujourd'hui que chaque cancer du sein avec chaque porteuse de ce p'tit crabe est unique Et chacune fait comme elle peut avec ses moyens

ne pas attendre que les orages passent pour vivre mais apprendre à danser sous la pluie.....
Corinne

Quelques réflexions , guerre ou pas...   [230329] posté le 17/10/2015 16:53:00 par fanou94, Bonjour ,
Ce débat a sans doute le grand mérite de nous remuer et de ns faire cogiter,,,,j'ai assisté , il y a qques années à un débat à propos d'un texte écrit par une psy en oncologie 'j'ai oublié son nom (qu'elle me pardonne) mais avais gardé une partie de son texte que je vais tenté de vous livrer :
«  Si l’utilisation de métaphores guerrières (arsenal thérapeutique, traitements de première et de deuxième lignes, attaquer, tuer les cellules, vaincre le cancer, se battre, ne pas se « laisser avoir », gagner la bataille, perdre le combat, etc.) est présente depuis tant d’années en oncologie, c’est que professionnels de la santé et patients ont tous à cœur un seul but : vivre. Or, oui, il est vrai, la cellule cancéreuse peut induire la mort physique, et ce, parfois beaucoup trop tôt, beaucoup trop vite, de manière inattendue, bref jamais à un bon moment. Et pourtant, composer avec le cancer, c’est aussi vivre.
le cancer fait peur. Parce que l’on peut en mourir ? Oui, la peur de mourir est probablement l’une des origines de ces croyances.
Et, il y a ce côté imprévisible et inconnu. Nul ne peut prédire avec certitude l’issue d’un traitement oncologique, ni expliciter avec certitude la cause d’un cancer. Et, l’être humain n’aime pas l’inconnu. Il a besoin de réponses, de sens, pour comprendre et retrouver un contrôle.
Et pourtant, si vivre est certes un éternel défi, rempli de surprise et d’aléas imprévisibles, vivre est certainement beaucoup de choses, mais certainement pas réduit à un seul but : combattre pour survivre. Si tel est le cas, alors quoi ? Survivre pour gagner ? Gagner contre qui ou contre quoi au juste ? Gagner contre la maladie ? Gagner quelques mois, quelques années, quelques jours de survie ? Et si l’on choisissait de changer notre regard, de modifier le combat et de choisir de vivre maintenant.

Alors, s’il y a lieu de livrer un combat, d’accord, j’accepte, et je revendique le droit de la personne touchée par le cancer de choisir sa façon de composer avec le défi du cancer. Que chaque personne puisse vivre sa vie jusqu’au bout, comme il le souhaite. Qu’une fois rendu au bout du sursis que représente la vie, il puisse se tourner vers son miroir intérieur et se dire avec un grand sourire : « Combien de montagnes, de lac et de défis j’ai surmontés, et combien je suis heureux et fier de porter en moi la certitude d’avoir savouré la vie, ma vie, en harmonie avec mes valeurs et mes convictions. »
Le cancer n’est pas un combat. Il n’y a pas de vainqueur ni de perdant. Le cancer est une maladie parmi d’autres. Vivre avec le cancer, composer avec l’incertitude quotidiennement et soigner le cancer est un réel défi. Il s’agit de choisir comment l’on veut vivre et composer avec ce défi de santé qui est venu entraver le chemin de la vie.

À chacun sa métaphore. Et prônez celle de vivre dans tout son sens. "
Ce texte a été à l'origine d'une belle discussion.....et m'avait touchée personnellement.....et j'ignorai à cette époque que j'allais revivre un 2ème épisode de ce "crabe" .
Amitiés à tous

Françoise

zaboton   [230328] posté le 17/10/2015 15:42:00 par madonne, tout a fait d'accord avec toi ,
la seule chose que je retiens de ce débat c'est la souffrance que nous éprouvons ...
bon week end a toutes
amitiés sophie

re   [230327] posté le 17/10/2015 15:06:00 par zaboton Depuis 4 ans , ce forum m'a aidé à avancer alors, je ne voudrais , ni me méprendre sur des propos lus, ni semer de polémiques, mais juste dire que jusque -là, je n'ai jamais été en contradiction avec quiconque et je pense bien que vous comprendrez mon point de vue.
Je vis à la campagne et je suis loin d'affichages en tous genres et de campagnes exagérées en octobre.
J'entends une fois l'an à la radio ou à la télévision qq reportages qui évoquent ce sujet mais sans jamais me sentir envahie ou stigmatisée.
Ce que je vois , en revanche, ce sont des femmes sans cesse plus nombreuses et jeunes qui vivent l'épreuve du cancer même en pleine campagne.
Ce forum nous a unies, qu'il continue à être source d'informations positives et de conseils bénéfiques.
Bonne journée à toutes

carambole   [230326] posté le 17/10/2015 14:35:00 par zaboton C'est juste le "j'ai éclaté de rire" qui m'a peiné, car jamais je ne rirai de ce fichu cancer ni des termes utilisés. Les femmes en rose qui courent chaque année font ce qu'elles peuvent.Les amazones, guerrières ne sont pas sûres de gagner ces combats mais la force des mots peut nous aider aussi à vaincre "l'ennemi"
Unissons-nous, plutôt que de nous juger!
Ce fléau est tellement envahissant qu'il a uni des femmes et c'est louable.
Pour certaines, c'est une véritable bouée de sauvetage.
Alors que l'on se batte pour soi, contre le cancer ou que l'on emploie d'autres vocabulaires.Peu importe, il faut avancer sans sombrer moralement et ce n'est pas si simple!
Chacune utilise les mots qu'elle peut pour parler de sa maladie en fonction de son vécu, son milieu, son caractère.
Croyons-y!

Zaboton/Carambole/Kensya31/madonne   [230324] posté le 17/10/2015 14:32:00 par demdo Bonjour,
J'ai un profond respect pour chacune d'entre nous, je ne vais pas rajouter grand chose au post de carambole qui correspond tout à fait à mon état d'esprit. et oui à vivre au quotidien ce n'est pas facile et chacune se débrouille comme elle peut. Mais quand je me sens culpabilisée parce qu'il y a une sorte d'injonction des pouvoirs publics et médiatiques, des grands labos et de diverses associations dont les financements ne sont pas aussi transparents que nécessaires alors là je me sens blessée. je me sens blessée et coupable de ne pas adhérer à cette "grande messe rose". Pour ce qui est du combat, j'ai compris dernièrement grâce à ma prof de yoga combien cela pouvait être épuisant et contre productif. Mieux vaut mettre son énergie dans le positif , c'est à dire se faire du bien, se dire que ce corps défaillant on l'aime et on le chouchoute, bref booster les bonnes cellules que combattre les mauvaises (les traitements et médecins sont là pour ça) ce qui ne vaut pas dire ne pas être vigilante.
Je ne me moque de personne et je continue à rire même des gens malades, j'ai expliqué à Jeluchax quel était mon métier ça fait plus de 20ans que je travaille auprès d'enfants malades (cancers.., Mucoviscidose ... et autres pathologies tout aussi inacceptables . Des décès j'en ai malheureusement connu trop, mais crois moi l'humour est toujours là et même entre eux ils arrivent à tourner en dérision certains désagréments. Par contre ce qui est sûr c'est qu'un enfant "chauve" amène des dons et que parfois on se demandait où était passé l'argent? Et il a fallu attendre qu'un jeune chanteur médiatique décède pour que les enfants atteints de mucoviscidose soient connus et oui ça ne se reconnaît pas dans la rue un jeune atteint de cette pathologie.
Bref, mais je ne sais pas faire court, vous avez du remarquer, chacune a exprimé librement ici son ressenti dans le plus grand respect et c'est bien que Zaboton régisse à nos propos.
Pour Kensya31, t'as fait comment pour arrêter de fumer ?, je n'y arrives pas ( j'ai même essayé l'hypnose), même si j'ai beaucoup réduit et là j'avoue que je me sens coupable parce que je ne me fais pas du bien!!
Désolée d'avoir était longue
Bonne après-midi à toutes
Dominique

zaboton   [230322] posté le 17/10/2015 13:45:00 par Carambole Vous vous méprenez. Relisez-moi, je ne rie pas, ne me moque pas des femmes atteintes d'un cancer du sein qui utilisent sans cesse ces termes guerriers pour évoquer la vie de tous les jours et leur avenir.
Je n'ai jamais écrit qu'une hygiène de vie ne participe pas à une grande rémission, loin de là, et c'est d'ailleurs ce que j'applique dans ma vie de tous les jours. Je l'ai assez rappelé dans tous les forums.
Ce n'est pas les femmes atteintes du cancer du sein qui sont en cause. C'est la dictature imposée par le monde médiatique qui veut nous culpabiliser si nous ne sommes pas des "battantes", alors que nous sommes tout simplement des femmes qui faisons tout ce que nous pouvons pour gérer, admettre, vivre, sans pour autant revêtir une "armure" telle Jeanne d'Arc.
Nous avons aussi le droit de considérer que ces termes de "guerrières" nous blessent, à force de les lire partout à tout bout de champ, tout autant que vous avez le droit de vous sentir blessée parce que vous vous avez choisi de vous considérer comme une guerrière.
Nous sommes toutes dans le même bateau, c'est ça qu'il ne faut pas oublier. Nous avons toutes nos forces et nos faiblesses. Nous ne sommes pas que notre cancer, nous sommes surtout notre histoire. Nous sommes fragilisées. Nous avons toutes le droit de nous exprimer. Et ne croyez pas, zaboton, que je ne vous comprends pas. Bien au contraire !
Arielle🍀;🌺;☀;️;

zaboton- guerrières?   [230321] posté le 17/10/2015 13:35:00 par ksenya31, Bonjour,

Je reconnais le combat que tu menes, je mène le même... mais ce n'est pas contre le cancer en lui-meme, il me semble. Plutôt contre moi-meme pour éviter de retomber dans les mêmes travers.

Je reconnais avoir passé des mois à lutter contre moi pour bien manger, faire de l'exercice, ne pas sauter sur les gâteaux, chips et bonbons. Il a aussi fallu que je lutte contre le tabac... Mais aujourd'hui, ce sont presque des automatismes et je prends plaisir à vivre autrement. C'est au moins un bien dans un mal.

Je connais plusieurs personnes qui ont combattu en ce sens et sont encore en vie, sans récidive ou nouveau cancer, 20 ans après leurs traitements.

J'ai aussi le souvenir de ma mère, une combattante de la maladie, qui n'a jamais fait ce travail sur elle-meme, mais qui par contre à continuer à faire "comme avant". A lutter contre la maladie, elle a oublié de prendre soin d'elle et d'ecouter son corps.

Voilà le sens de mes écrits : les médecins luttent, je prends soin de moi, justement pour panser les plaies du champ de bataille...

Bon week-end,
Clara

se battre ou subire   [230320] posté le 17/10/2015 13:10:00 par madonne, bonjour a tout le monde ,
je dirais juste que c'est tellement dur à vivre au quotidien
bon week end ...................

carambole   [230319] posté le 17/10/2015 12:36:00 par zaboton Voilà de quoi vous déranger un peu mais je crois que l'on n'a pas le droit de critiquer les guerrières du cancer.
C'est un combat de tous les jours:penser à soi, aller marcher, changer son alimentation,gérer son stress et ne pas retomber dans les mauvaises habitudes d'avant.
Mon cancérologue à moi est formel, vous pouvez vous aussi vous battre car personne ne connaît les mécanismes du cancer .
On sait seulement que le stress peut nuire car oxydatif, que la nourriture trop sucrée et grasse génère des dysfonctionnements , que le manque d'exercice est un facteur,que le trop d'exercices peut être aussi dangereux car acidifiant.Alors,ne riez pas et ne vous moquez pas des guerrières.
Depuis 5 ans ,je me bats sur tous les fronts pour sauver ma peau.Alors, laissez les guerrières vivre leur combat et trouver leurs armes personnelles.
Même si vos propos ne se veulent pas méchants, je lis souvent ces commentaires qui font un peu mal.Alors,respect aux guerrières!
bises à toutes