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Débattre d'urgence de l'accès aux données de santé [195232] posté le 30/01/2013 19:04:00 par nanon,
LE MONDE | 30.01.2013 à 11h49 • Mis à jour le 30.01.2013 à 12h34
Le ministère de la santé ne pourra pas longtemps rester sourd à la demande de transparence sur les données de santé publique en France. La pétition lancée, jeudi 24 janvier, par des associations de consommateurs ou de défense des patients et déjà signée par des professeurs de médecine, des économistes ou des chercheurs pour réclamer la "libéralisation" de l'immense base d'informations collectées depuis des décennies par l'Assurance-maladie ne peut rester lettre morte.
A l'heure où les dysfonctionnements de notre système de soins font régulièrement la "une" de l'actualité et suscitent la défiance des usagers ; à l'heure où chaque scandale sanitaire fait apparaître, a posteriori, qu'une meilleure analyse et une meilleure connaissance des pratiques médicales auraient pu permettre d'alerter sur des prescriptions inappropriées, il n'est plus possible d'entendre dire que les données existaient mais qu'on ne les a pas regardées. Bien sûr, les données de santé ne sont pas des données comme les autres et nécessitent des garde-fous, une anonymisation inviolable et un encadrement éthique quant à leur utilisation. Mais l'Assurance-maladie ne peut pas garder seule le pouvoir de l'information et montrer uniquement ce qu'elle a envie de montrer, notamment quand il s'agit de faire des économies ou de négocier de nouvelles règles avec les médecins.
N'y a-t-il pas plus d'avantages que de risques à autoriser l'exploitation de ces données publiques, ne serait-ce que pour ramener la confiance des patients, améliorer le fonctionnement et la performance du système de soins et faire des choix éclairés ? La question mérite d'être posée et tranchée par les pouvoirs publics.
En affichant désormais les tarifs pratiqués par les médecins sur son site Internet Ameli.fr, l'Assurance-maladie a fait un premier pas notable dans l'accès à l'information pour le grand public. Elle doit désormais aller plus loin. Les sujets de recherche à partir des données de santé ne manquent pas : dépassements d'honoraires, redondance d'examens médicaux, surprescription ou mésusage de médicaments, efficience de telle ou telle technique médicale, performance des hôpitaux, inégalité d'accès aux soins... Le "trésor de guerre" de l'Assurance-maladie est une mine d'informations pour étudier l'épidémiologie et les comportements. Il peut aider, par exemple, à suivre l'utilisation d'un médicament dans la "vraie vie" après son autorisation de mise sur le marché et mesurer si les recommandations d'usage, émises par les agences sanitaires, n'ont pas été ignorées ou détournées. L'affaire désastreuse des pilules de 3e et 4e génération et de Diane 35 (un produit contre l'acné prescrit comme contraceptif) devrait faire bouger les lignes. Le secteur de la santé ne peut pas s'exonérer de la dynamique de l'open data, le libre accès aux données. D'autant que la charte de déontologie signée par tous les ministres du gouvernement de François Hollande, lors de leur entrée en fonctions, prône "une action déterminée pour la mise à disposition gratuite et commode sur Internet d'un grand nombre de données publiques".
Le ministère de la santé ne pourra pas longtemps rester sourd à la demande de transparence sur les données de santé publique en France. La pétition lancée, jeudi 24 janvier, par des associations de consommateurs ou de défense des patients et déjà signée par des professeurs de médecine, des économistes ou des chercheurs pour réclamer la "libéralisation" de l'immense base d'informations collectées depuis des décennies par l'Assurance-maladie ne peut rester lettre morte.
A l'heure où les dysfonctionnements de notre système de soins font régulièrement la "une" de l'actualité et suscitent la défiance des usagers ; à l'heure où chaque scandale sanitaire fait apparaître, a posteriori, qu'une meilleure analyse et une meilleure connaissance des pratiques médicales auraient pu permettre d'alerter sur des prescriptions inappropriées, il n'est plus possible d'entendre dire que les données existaient mais qu'on ne les a pas regardées. Bien sûr, les données de santé ne sont pas des données comme les autres et nécessitent des garde-fous, une anonymisation inviolable et un encadrement éthique quant à leur utilisation. Mais l'Assurance-maladie ne peut pas garder seule le pouvoir de l'information et montrer uniquement ce qu'elle a envie de montrer, notamment quand il s'agit de faire des économies ou de négocier de nouvelles règles avec les médecins.
N'y a-t-il pas plus d'avantages que de risques à autoriser l'exploitation de ces données publiques, ne serait-ce que pour ramener la confiance des patients, améliorer le fonctionnement et la performance du système de soins et faire des choix éclairés ? La question mérite d'être posée et tranchée par les pouvoirs publics.
En affichant désormais les tarifs pratiqués par les médecins sur son site Internet Ameli.fr, l'Assurance-maladie a fait un premier pas notable dans l'accès à l'information pour le grand public. Elle doit désormais aller plus loin. Les sujets de recherche à partir des données de santé ne manquent pas : dépassements d'honoraires, redondance d'examens médicaux, surprescription ou mésusage de médicaments, efficience de telle ou telle technique médicale, performance des hôpitaux, inégalité d'accès aux soins... Le "trésor de guerre" de l'Assurance-maladie est une mine d'informations pour étudier l'épidémiologie et les comportements. Il peut aider, par exemple, à suivre l'utilisation d'un médicament dans la "vraie vie" après son autorisation de mise sur le marché et mesurer si les recommandations d'usage, émises par les agences sanitaires, n'ont pas été ignorées ou détournées. L'affaire désastreuse des pilules de 3e et 4e génération et de Diane 35 (un produit contre l'acné prescrit comme contraceptif) devrait faire bouger les lignes. Le secteur de la santé ne peut pas s'exonérer de la dynamique de l'open data, le libre accès aux données. D'autant que la charte de déontologie signée par tous les ministres du gouvernement de François Hollande, lors de leur entrée en fonctions, prône "une action déterminée pour la mise à disposition gratuite et commode sur Internet d'un grand nombre de données publiques".
La vérité sur les urgences - Enquête de santé du 29/01/2013 [195231] posté le 30/01/2013 18:30:00 par nanon,
"Créées au départ pour accueillir les urgences vitales, les services d’urgences répondent aujourd’hui dans 90 % des cas à une demande de soins psychiatriques, d’urgences sociales, dentaires, gériatriques…"
En 20 ans, le nombre d’admissions a plus que doublé, passant de 7 à 16 millions par an.
Des patients qui attendent de plus en plus longtemps avant d’être pris en charge, des urgentistes qui ne supportent plus leurs conditions de travail… Des infirmières au bord de la crise de nerfs… Les services d’urgences ont mauvaise réputation auprès des soignants et des patients ; pourtant le nombre d’admissions ne cesse d’augmenter…
Les raisons sont multiples : les médecins de ville qui ne veulent plus travailler la nuit et le week-end, la précarisation des patients qui préfèrent se rendre aux urgences plutôt que chez leur médecin généraliste, le vieillissement de la population ainsi que le démantèlement des hôpitaux de proximité.
Mais faut-il désengorger les urgences ?
Les services reçoivent tous les patients qui se présentent, c’est la règle… Mais ces patients qui pourraient être adressés à un généraliste font faire « du chiffre » aux hôpitaux. Un patient, c’est un acte, et c’est au nombre d’actes que l’hôpital est rémunéré… Alors, plus les urgences reçoivent, plus l’hôpital est gagnant.
Dans un rapport de 2007, la Cour de comptes note « un dispositif tarifaire qui incite au volume » et ajoute : « Ceci apparaît contradictoire avec l’objectif de développement de la permanence des soins et de désengorgement des services d’urgence. »
Faut-il créer des filières rapides pour traiter la « bobologie »?
Les maisons médicales de garde ont été créées en 2003 dans le but de désengorger les urgences. Des maisons supposées prendre le relais des cabinets médicaux fermés le soir et les week-end… Mais elles sont méconnues et peu fréquentées, car elles ne prennent pas le tiers payant. Enfin, elles n’attirent pas non plus les médecins, dont les astreintes sont mal rémunérées.
Voir le film et écouter le débat :
Les invités
.- Nathalie Depoire
Infirmière et présidente du CNI (Coordination nationale des infirmières)
- Dr Pierre Taboulet
Médecin urgentiste, ancien chef de service des urgences de l’hôpital Saint Louis AP-HP
- Dr Patrick Pelloux
Médecin urgentiste, président de l'Association des médecins urgentistes de France (AMUF)
- Dr Guillaume Valdenaire
Médecin urgentiste, responsable des urgences de Pellegrin CHU Bordeaux
- Mme Véronique Anatole-Touzet
Directrice du CHR de Metz-Thionville et vice-présidente de la conférence des directeurs généraux de CHU.
- Dr Marc Giroud
Médecin urgentiste, président de Samu urgences de France, directeur du Samu Val-d’Oise
http://www.france5.fr/sante/enquete-de-sante/emission/2013-01-29
"Créées au départ pour accueillir les urgences vitales, les services d’urgences répondent aujourd’hui dans 90 % des cas à une demande de soins psychiatriques, d’urgences sociales, dentaires, gériatriques…"
En 20 ans, le nombre d’admissions a plus que doublé, passant de 7 à 16 millions par an.
Des patients qui attendent de plus en plus longtemps avant d’être pris en charge, des urgentistes qui ne supportent plus leurs conditions de travail… Des infirmières au bord de la crise de nerfs… Les services d’urgences ont mauvaise réputation auprès des soignants et des patients ; pourtant le nombre d’admissions ne cesse d’augmenter…
Les raisons sont multiples : les médecins de ville qui ne veulent plus travailler la nuit et le week-end, la précarisation des patients qui préfèrent se rendre aux urgences plutôt que chez leur médecin généraliste, le vieillissement de la population ainsi que le démantèlement des hôpitaux de proximité.
Mais faut-il désengorger les urgences ?
Les services reçoivent tous les patients qui se présentent, c’est la règle… Mais ces patients qui pourraient être adressés à un généraliste font faire « du chiffre » aux hôpitaux. Un patient, c’est un acte, et c’est au nombre d’actes que l’hôpital est rémunéré… Alors, plus les urgences reçoivent, plus l’hôpital est gagnant.
Dans un rapport de 2007, la Cour de comptes note « un dispositif tarifaire qui incite au volume » et ajoute : « Ceci apparaît contradictoire avec l’objectif de développement de la permanence des soins et de désengorgement des services d’urgence. »
Faut-il créer des filières rapides pour traiter la « bobologie »?
Les maisons médicales de garde ont été créées en 2003 dans le but de désengorger les urgences. Des maisons supposées prendre le relais des cabinets médicaux fermés le soir et les week-end… Mais elles sont méconnues et peu fréquentées, car elles ne prennent pas le tiers payant. Enfin, elles n’attirent pas non plus les médecins, dont les astreintes sont mal rémunérées.
Voir le film et écouter le débat :
Les invités
.- Nathalie Depoire
Infirmière et présidente du CNI (Coordination nationale des infirmières)
- Dr Pierre Taboulet
Médecin urgentiste, ancien chef de service des urgences de l’hôpital Saint Louis AP-HP
- Dr Patrick Pelloux
Médecin urgentiste, président de l'Association des médecins urgentistes de France (AMUF)
- Dr Guillaume Valdenaire
Médecin urgentiste, responsable des urgences de Pellegrin CHU Bordeaux
- Mme Véronique Anatole-Touzet
Directrice du CHR de Metz-Thionville et vice-présidente de la conférence des directeurs généraux de CHU.
- Dr Marc Giroud
Médecin urgentiste, président de Samu urgences de France, directeur du Samu Val-d’Oise
http://www.france5.fr/sante/enquete-de-sante/emission/2013-01-29
diane 35 et les autres substances [195202] posté le 29/01/2013 22:33:00 par croyonsy,
Je suis outrée de lire ceci:
"L'Avastin est à l'origine utilisé dans le traitement des cancers colorectaux ou du poumon. Il s'avère aujourd'hui qu'il est précieux dans le traitement de certaines rétinopathies ou dégénérescences masculaires liées à l'âge."(dixit ledocteur François Chast, directeur de la pharmacie-clinique des hôpitaux universitaires de Paris-Centre"(le Monde.fr)
En effet très concernée par le chapitre DMLA :dégénérescences masculaires liées à l'âge j'ai lu récemment que la FRANCE voudrait faire adopter l'AVASTIN pour les traitements de DMLA alors qu'outre ATLANTIQUE les dossiers s'empilent avec les effets néfastes constatés depuis des années pour cette indication et ont conduit fin 2012 à stopper l'emploi d'AVASTIN POUR LA VUE........de même qu'il y a été stoppé pour le cancer du sein en 2011 et qu'ils viennent toujours aux Etats Unis de l'autoriser pour les cancers colorectaux cherchez .....l'erreur !!............
et aussi quand
le même journaliste cite encore les mots du docteur François Chast, directeur de la pharmacie-clinique des hôpitaux universitaires de Paris-Centre:
"L'aspirine est à l'origine un médicament anti-rhumatismal. Il y a vingt-cinq ans, il est devenu un médicament cardiologique. Aujourd'hui on sait qu'il a des propriétés anti-cancéreuses, même s'il n'y a pas un seul laboratoire pharmaceutique pour financer une étude pour en faire la démonstration, puisque l'aspirine est depuis longtemps dans le domaine public. ......................"le monde.fr
MAIS pas assez lucratif pour faire vivre des labos qui s'engraissent sur nos "dos"
L Y a DE QUOI bondir ET HURLER EN LISANT CELA
ceci dit merci Mariette
Je suis outrée de lire ceci:
"L'Avastin est à l'origine utilisé dans le traitement des cancers colorectaux ou du poumon. Il s'avère aujourd'hui qu'il est précieux dans le traitement de certaines rétinopathies ou dégénérescences masculaires liées à l'âge."(dixit ledocteur François Chast, directeur de la pharmacie-clinique des hôpitaux universitaires de Paris-Centre"(le Monde.fr)
En effet très concernée par le chapitre DMLA :dégénérescences masculaires liées à l'âge j'ai lu récemment que la FRANCE voudrait faire adopter l'AVASTIN pour les traitements de DMLA alors qu'outre ATLANTIQUE les dossiers s'empilent avec les effets néfastes constatés depuis des années pour cette indication et ont conduit fin 2012 à stopper l'emploi d'AVASTIN POUR LA VUE........de même qu'il y a été stoppé pour le cancer du sein en 2011 et qu'ils viennent toujours aux Etats Unis de l'autoriser pour les cancers colorectaux cherchez .....l'erreur !!............
et aussi quand
le même journaliste cite encore les mots du docteur François Chast, directeur de la pharmacie-clinique des hôpitaux universitaires de Paris-Centre:
"L'aspirine est à l'origine un médicament anti-rhumatismal. Il y a vingt-cinq ans, il est devenu un médicament cardiologique. Aujourd'hui on sait qu'il a des propriétés anti-cancéreuses, même s'il n'y a pas un seul laboratoire pharmaceutique pour financer une étude pour en faire la démonstration, puisque l'aspirine est depuis longtemps dans le domaine public. ......................"le monde.fr
MAIS pas assez lucratif pour faire vivre des labos qui s'engraissent sur nos "dos"
L Y a DE QUOI bondir ET HURLER EN LISANT CELA
ceci dit merci Mariette
détournement thérapeutique [195194] posté le 29/01/2013 21:13:00 par mariette,
"Diane 35 est un cas de détournement accepté par les pouvoirs publics depuis 25 ans"
Le Monde.fr | 29.01.2013 à 17h50 • Mis à jour le 29.01.2013 à 20h42 Propos recueillis par François Béguin
Diane 35, qui est un traitement contre l'acné, a ainsi été largement largement utilisé comme contraceptif oral.
L'annonce par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) de quatre décès "imputables à une thrombose veineuse liée à Diane 35" ces vingt-cinq dernières années a mis en lumière l'usage détourné de certains médicaments. Diane 35, qui est un traitement contre l'acné, a ainsi été largement largement utilisé comme contraceptif oral : il est utilisé par 315 000 femmes.
Le docteur François Chast, directeur de la pharmacie-clinique des hôpitaux universitaires de Paris-Centre, analyse cette pratique consistant à prescrire un médicament pour un autre usage que celui pour lequel il a été officiellement mis sur le marché.
Ce type de détournement est-il fréquent ?
Il est difficile de donner des chiffres précis car, par définition, ce qui est détourné n'est pas très visible, la cause de la prescription ne figurant pas sur une ordonnance. C'est pour cela que je suis étonné que l'ANSM ait pu dire que Diane 35 avait été prescrit à 90 % dans le cadre d'un usage détourné.
Il y a des détournements qui sont des scandales en termes sanitaires et qui ne répondent pas à un besoin. Mais nous nous devons de faire la part des choses et de séparer le bon grain de l'ivraie. C'est notre devoir de scientifique de trier ce qui est intéressant, souhaitable, ou nuisible.
Quels exemples avez-vous de mauvais détournements de médicaments ?
Il y a des détournements qui sont des abus. C'est par exemple le cas du Subutex qui était à l'origine un traitement de substitution par voie orale à l'héroïne. Une étude avait montré il y a cinq ou dix ans que dans 25 % des cas, il était utilisé par injection par les toxicomanes.
Autre exemple : le Rivotril, qui avait été mis sur le marché comme un médicament antiépileptique. Il a été mis en évidence qu'il avait été utilisé dans des cas d'abus sexuels ou d'abus de confiance car combiné à une forte consommation d'alcool, il provoque une amnésie antérétrograde, empêchant ainsi les victimes d'identifier leurs agresseurs.
Par ailleurs, les cas de dopage reposent à 99,9 % sur des détournements de médicaments. L'EPO est à la base un médicament qui a changé la vie des malades insuffisants rénaux et des cancéreux atteints d'anémie. Les bétabloquants, utilisés en cardiologie, sont interdits dans tous les sports de précision car ils limitent le stress et les tremblements. La Ventoline est à la fois un bronchodilatateur et un anabolisant. Les diurétiques, conçus pour le traitement de l'hypertension artérielle, sont très largement utilisés comme des produits masquant des substances dopantes dans les urines. Pour autant, il est hors de question d'interdire la Ventoline ou l'EPO : ce sont des médicaments utiles. Ce sont les filières d'approvisionnement qu'il faut démanteler.
Le Mediator est enfin un exemple célèbre de détournement. Il y a eu beaucoup d'ambiguïtés de la part du laboratoire Servier sur ce médicament. Des témoignages attestent qu'il a été largement utilisé comme coupe-faim et non dans le traitement du diabète.
A l'inverse, quels sont les exemples de "bons" détournements ?
Il y a de nombreux exemples de détournements positifs. Je vais en citer trois.
Le Baclofène est un médicament utilisé depuis une trentaine d'années dans le traitement des maladies neuro-musculaires. Plusieurs essais cliniques ont montré qu'il avait de très bons résultats dans le traitement du sevrage alcoolique.
L'aspirine est à l'origine un médicament anti-rhumatismal. Il y a vingt-cinq ans, il est devenu un médicament cardiologique. Aujourd'hui on sait qu'il a des propriétés anti-cancéreuses, même s'il n'y a pas un seul laboratoire pharmaceutique pour financer une étude pour en faire la démonstration, puisque l'aspirine est depuis longtemps dans le domaine public.
L'Avastin est à l'origine utilisé dans le traitement des cancers colorectaux ou du poumon. Il s'avère aujourd'hui qu'il est précieux dans le traitement de certaines rétinopathies ou dégénérescences masculaires liées à l'âge.
Il y a des cas difficiles à situer, comme le Viagra, d'abord conçu pour une utilisation en cardiologie et finalement vendu pour remédier aux troubles érectiles...
On peut parler de détournement quand on travestit la réalité de l'utilisation. Dans le cas du Viagra, on a exploité un effet latéral d'un médicament conçu à l'origine pour l'hypertension. Il a été mis sur le marché pour dysfonctionnement du trouble érectile. Dans la mesure où il y a une transparence de l'industriel, on ne peut pas parler de détournement.
Quelle lecture faites-vous du cas Diane 35 ?
On nous dit que ce médicament était officiellement destiné au traitement de l'acné. Mais quand on ouvre le Vidal [dictionnaire médical], il est clairement décrit comme un médicament contraceptif. Les génériques de Diane, qui ont été approuvés par l'ANSM, incluent d'ailleurs sept jours de comprimés placebo. Le conditionnement même du produit répond aux critères d'un médicament contraceptif. Diane 35 est un cas de détournement accepté par les pouvoirs publics depuis vingt-cinq ans.
Les médecins savent bien que Diane peut avoir un double usage. S'il est bien toléré sur le plan dermatologique, on en connaît les risques vasculaires, notamment veineux.
Dans la mesure où il y a des médicaments qui répondent aux besoins sanitaires, on peut supprimer Diane et ses génériques. L'ANSM devrait donc urgemment arrêter la commercialisation de ce médicament. Chaque décès qui interviendrait maintenant serait imputable à une absence de décision gouvernementale.
Ce qui s'est passé avec Diane 35 s'est passé sous le manteau. Mais le manteau était transparent. Aujourd'hui, tout le monde crie au feu, mais avec une boîte d'allumettes à la main.
Propos recueillis par François Béguin
"Diane 35 est un cas de détournement accepté par les pouvoirs publics depuis 25 ans"
Le Monde.fr | 29.01.2013 à 17h50 • Mis à jour le 29.01.2013 à 20h42 Propos recueillis par François Béguin
Diane 35, qui est un traitement contre l'acné, a ainsi été largement largement utilisé comme contraceptif oral.
L'annonce par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) de quatre décès "imputables à une thrombose veineuse liée à Diane 35" ces vingt-cinq dernières années a mis en lumière l'usage détourné de certains médicaments. Diane 35, qui est un traitement contre l'acné, a ainsi été largement largement utilisé comme contraceptif oral : il est utilisé par 315 000 femmes.
Le docteur François Chast, directeur de la pharmacie-clinique des hôpitaux universitaires de Paris-Centre, analyse cette pratique consistant à prescrire un médicament pour un autre usage que celui pour lequel il a été officiellement mis sur le marché.
Ce type de détournement est-il fréquent ?
Il est difficile de donner des chiffres précis car, par définition, ce qui est détourné n'est pas très visible, la cause de la prescription ne figurant pas sur une ordonnance. C'est pour cela que je suis étonné que l'ANSM ait pu dire que Diane 35 avait été prescrit à 90 % dans le cadre d'un usage détourné.
Il y a des détournements qui sont des scandales en termes sanitaires et qui ne répondent pas à un besoin. Mais nous nous devons de faire la part des choses et de séparer le bon grain de l'ivraie. C'est notre devoir de scientifique de trier ce qui est intéressant, souhaitable, ou nuisible.
Quels exemples avez-vous de mauvais détournements de médicaments ?
Il y a des détournements qui sont des abus. C'est par exemple le cas du Subutex qui était à l'origine un traitement de substitution par voie orale à l'héroïne. Une étude avait montré il y a cinq ou dix ans que dans 25 % des cas, il était utilisé par injection par les toxicomanes.
Autre exemple : le Rivotril, qui avait été mis sur le marché comme un médicament antiépileptique. Il a été mis en évidence qu'il avait été utilisé dans des cas d'abus sexuels ou d'abus de confiance car combiné à une forte consommation d'alcool, il provoque une amnésie antérétrograde, empêchant ainsi les victimes d'identifier leurs agresseurs.
Par ailleurs, les cas de dopage reposent à 99,9 % sur des détournements de médicaments. L'EPO est à la base un médicament qui a changé la vie des malades insuffisants rénaux et des cancéreux atteints d'anémie. Les bétabloquants, utilisés en cardiologie, sont interdits dans tous les sports de précision car ils limitent le stress et les tremblements. La Ventoline est à la fois un bronchodilatateur et un anabolisant. Les diurétiques, conçus pour le traitement de l'hypertension artérielle, sont très largement utilisés comme des produits masquant des substances dopantes dans les urines. Pour autant, il est hors de question d'interdire la Ventoline ou l'EPO : ce sont des médicaments utiles. Ce sont les filières d'approvisionnement qu'il faut démanteler.
Le Mediator est enfin un exemple célèbre de détournement. Il y a eu beaucoup d'ambiguïtés de la part du laboratoire Servier sur ce médicament. Des témoignages attestent qu'il a été largement utilisé comme coupe-faim et non dans le traitement du diabète.
A l'inverse, quels sont les exemples de "bons" détournements ?
Il y a de nombreux exemples de détournements positifs. Je vais en citer trois.
Le Baclofène est un médicament utilisé depuis une trentaine d'années dans le traitement des maladies neuro-musculaires. Plusieurs essais cliniques ont montré qu'il avait de très bons résultats dans le traitement du sevrage alcoolique.
L'aspirine est à l'origine un médicament anti-rhumatismal. Il y a vingt-cinq ans, il est devenu un médicament cardiologique. Aujourd'hui on sait qu'il a des propriétés anti-cancéreuses, même s'il n'y a pas un seul laboratoire pharmaceutique pour financer une étude pour en faire la démonstration, puisque l'aspirine est depuis longtemps dans le domaine public.
L'Avastin est à l'origine utilisé dans le traitement des cancers colorectaux ou du poumon. Il s'avère aujourd'hui qu'il est précieux dans le traitement de certaines rétinopathies ou dégénérescences masculaires liées à l'âge.
Il y a des cas difficiles à situer, comme le Viagra, d'abord conçu pour une utilisation en cardiologie et finalement vendu pour remédier aux troubles érectiles...
On peut parler de détournement quand on travestit la réalité de l'utilisation. Dans le cas du Viagra, on a exploité un effet latéral d'un médicament conçu à l'origine pour l'hypertension. Il a été mis sur le marché pour dysfonctionnement du trouble érectile. Dans la mesure où il y a une transparence de l'industriel, on ne peut pas parler de détournement.
Quelle lecture faites-vous du cas Diane 35 ?
On nous dit que ce médicament était officiellement destiné au traitement de l'acné. Mais quand on ouvre le Vidal [dictionnaire médical], il est clairement décrit comme un médicament contraceptif. Les génériques de Diane, qui ont été approuvés par l'ANSM, incluent d'ailleurs sept jours de comprimés placebo. Le conditionnement même du produit répond aux critères d'un médicament contraceptif. Diane 35 est un cas de détournement accepté par les pouvoirs publics depuis vingt-cinq ans.
Les médecins savent bien que Diane peut avoir un double usage. S'il est bien toléré sur le plan dermatologique, on en connaît les risques vasculaires, notamment veineux.
Dans la mesure où il y a des médicaments qui répondent aux besoins sanitaires, on peut supprimer Diane et ses génériques. L'ANSM devrait donc urgemment arrêter la commercialisation de ce médicament. Chaque décès qui interviendrait maintenant serait imputable à une absence de décision gouvernementale.
Ce qui s'est passé avec Diane 35 s'est passé sous le manteau. Mais le manteau était transparent. Aujourd'hui, tout le monde crie au feu, mais avec une boîte d'allumettes à la main.
Propos recueillis par François Béguin
Les courses/marches ODYSSEA au profit de la lutte contre le cancer du sein [195191] posté le 29/01/2013 20:01:00 par nanon,
- NANTES : DIMANCHE 17 MARS 2013 - Cours Saint-André
5 km course/marche et 1 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés à l'Institut de Cancérologie de l'Ouest-René Gauducheau, au Comité Loire-Atlantique de la Ligue contre le Cancer et à une association "coup de cœur" !
- CHAMBERY : SAMEDI 1ER JUIN 2013 - Parc du Verney
4 et 8 km course/marche et 1,5 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés localement aux associations de cancérologie de l'Hôpital de Chambéry et du Médipôle, "Cancer du sein, rester femme, vivre bien", au comité de Savoie de la ligue nationale contre le cancer et à "4 S".
- DIJON : SAMEDI 8 JUIN 2013 - Parc de la Colombière
5 et 10 km course/marche et 1 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés au Centre Georges-François Leclerc.
- ST JEAN DE LUZ : SAMEDI 22 JUIN 2013 - Place Louis XIV
5 et 10 km course/marche et 1 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés à la Ligue Nationale contre le Cancer, Midi Pyrénées Atlantique, ainsi qu'à l'association Mieux Vivre Mon Cancer.
- BREST : DIMANCHE 8 SEPTEMBRE 2013 - Le Relecq Kerhuon
5 km course/marche et 9 km marche
Les fonds récoltés seront reversés à des associations locales de lutte contre le cancer du sein.
- CANNES/LE CANNET : DIMANCHE 22 SEPTEMBRE 2013 - Boulevard Carnot
5 et 10 km course et 1 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés à des associations locales de lutte contre le cancer du sein.
- PARIS : Samedi 5 et dimanche 6 octobre 2013
Esplanade du Château de Vincennes
Ensemble pour soutenir la lutte contre le cancer du sein.
La course/marche ODYSSEA-Paris au profit de l’Institut Gustave Roussy contribue activement à cet enjeu majeur d’accélérer l’histoire du cancer. Tout l’argent ainsi collecté sera dédié à un programme de recherche sur les traitements personnalisés du cancer du sein animé par les Drs Suzette Delaloge et Fabrice André.
- LA REUNION : DIMANCHE 3 NOVEMBRE 2013
5 et 10 km course/marche et courses enfants
Les fonds récoltés seront reversés localement en faveur de la prévention et de la lutte contre le cancer du sein.
Les inscriptions en ligne :
http://www.odyssea.info/pages/association.php#
- NANTES : DIMANCHE 17 MARS 2013 - Cours Saint-André
5 km course/marche et 1 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés à l'Institut de Cancérologie de l'Ouest-René Gauducheau, au Comité Loire-Atlantique de la Ligue contre le Cancer et à une association "coup de cœur" !
- CHAMBERY : SAMEDI 1ER JUIN 2013 - Parc du Verney
4 et 8 km course/marche et 1,5 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés localement aux associations de cancérologie de l'Hôpital de Chambéry et du Médipôle, "Cancer du sein, rester femme, vivre bien", au comité de Savoie de la ligue nationale contre le cancer et à "4 S".
- DIJON : SAMEDI 8 JUIN 2013 - Parc de la Colombière
5 et 10 km course/marche et 1 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés au Centre Georges-François Leclerc.
- ST JEAN DE LUZ : SAMEDI 22 JUIN 2013 - Place Louis XIV
5 et 10 km course/marche et 1 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés à la Ligue Nationale contre le Cancer, Midi Pyrénées Atlantique, ainsi qu'à l'association Mieux Vivre Mon Cancer.
- BREST : DIMANCHE 8 SEPTEMBRE 2013 - Le Relecq Kerhuon
5 km course/marche et 9 km marche
Les fonds récoltés seront reversés à des associations locales de lutte contre le cancer du sein.
- CANNES/LE CANNET : DIMANCHE 22 SEPTEMBRE 2013 - Boulevard Carnot
5 et 10 km course et 1 km course enfants
Les fonds récoltés seront reversés à des associations locales de lutte contre le cancer du sein.
- PARIS : Samedi 5 et dimanche 6 octobre 2013
Esplanade du Château de Vincennes
Ensemble pour soutenir la lutte contre le cancer du sein.
La course/marche ODYSSEA-Paris au profit de l’Institut Gustave Roussy contribue activement à cet enjeu majeur d’accélérer l’histoire du cancer. Tout l’argent ainsi collecté sera dédié à un programme de recherche sur les traitements personnalisés du cancer du sein animé par les Drs Suzette Delaloge et Fabrice André.
- LA REUNION : DIMANCHE 3 NOVEMBRE 2013
5 et 10 km course/marche et courses enfants
Les fonds récoltés seront reversés localement en faveur de la prévention et de la lutte contre le cancer du sein.
Les inscriptions en ligne :
http://www.odyssea.info/pages/association.php#
PRIVAS 07000 - Hôtel du Département - Le 4 février 2013 [194956] posté le 25/01/2013 18:58:00 par nanon,
de 14 h à 17 h 30
A l'occasion de la Journée Mondiale contre le Cancer
La journée mondiale pour la lutte contre le cancer a pour objectif de promouvoir son recul, par la prévention de la maladie, l'amélioration des traitements ainsi que de la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes.
COLLOQUE :
" Faire reculer le cancer, ensemble, c'est possible "
14h00 : Ouverture des travaux
M. Robert FESCHET - Président de la LIGUE contre le Cancer
de l’Ardèche (LCC07)
La LIGUE en 3 missions
Dr Henri BARBEQUOT – Vice Président LCC07
*****
14h 30 : La Recherche
- La Ligue, 1er financeur indépendant de la recherche en
France
Docteur Bernard FONTANIERE – membre du Conseil
scientifique inter-régional Rhône Alpes Auvergne (CSIR) –
administrateur (LCC07)
L’organisation de la Recherche en Rhône Alpes
Mme Marina ROUSSEAU – Secrétaire Générale de la
Recherche au Centre Léon Bérard (CRLC Lyon)
Des équipes d’excellence : les équipes labellisées
M. Marc PIECHACZYK – PHD - chercheur CNRS – Institut de
Génétique moléculaire - Montpellier
15h00 : Echanges avec la salle
*****
15h15 : L’Aide aux malades
« Accompagner pour Aider » une priorité pour la Ligue
Mme Joëlle JACOUTON : Administratrice LCC 07
L’après cancer : réinsertion et recherche d’emploi
Docteur Pierre SALTEL – Psychiatre - Département
interdisciplinaire des soins de support du patient en oncologie
(DISSPO) :Centre Léon Bérard / Administrateur LCC07
–
DOPAS : un dispositif d’observation pour l’action sociale.
Mme Annie BARBEQUOT : Administratrice LCC07 – membre du
comité de pilotage national
15h 45 : Échanges avec la salle
16h00 : Prévenir et Dépister
Une mission à part entière pour la Ligue
Docteur Jacques DUCLIEU – Administrateur LCC07
... les perspectives pour l’avenir
Professeur Franck CHAUVIN – Directeur scientifique du Centre
Régional de Prévention des Cancers – Centre Hygée
(St Etienne) - Administrateur de la LIGUE Nationale Contre le
Cancer
16h30 : Échanges avec la salle
*****
16h 45 : S’engager bénévolement
Compétences et générosité
Mme Françoise REY - Secrétaire Générale de la Ligue contre le
Cancer de l’Ardèche (LCC07)
Portraits de bénévoles
Partenaires de la Ligue : plus forts ensemble
17h - Échanges avec la salle
17h15 : Clôture des travaux
M. Robert FESCHET - Président de la LIGUE contre le Cancer de
l’Ardèche
Mme Martine FINIELS – Vice Présidente du Conseil Général de
l’Ardèche – déléguée à la santé et solidarité.
*****
18h00 : Réception et remise des chèques aux chercheurs
soutenus par la Ligue contre le cancer
Salon des Frères Montgolfier
*****
Entrée libre – tous publics
de 14 h à 17 h 30
A l'occasion de la Journée Mondiale contre le Cancer
La journée mondiale pour la lutte contre le cancer a pour objectif de promouvoir son recul, par la prévention de la maladie, l'amélioration des traitements ainsi que de la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes.
COLLOQUE :
" Faire reculer le cancer, ensemble, c'est possible "
14h00 : Ouverture des travaux
M. Robert FESCHET - Président de la LIGUE contre le Cancer
de l’Ardèche (LCC07)
La LIGUE en 3 missions
Dr Henri BARBEQUOT – Vice Président LCC07
*****
14h 30 : La Recherche
- La Ligue, 1er financeur indépendant de la recherche en
France
Docteur Bernard FONTANIERE – membre du Conseil
scientifique inter-régional Rhône Alpes Auvergne (CSIR) –
administrateur (LCC07)
L’organisation de la Recherche en Rhône Alpes
Mme Marina ROUSSEAU – Secrétaire Générale de la
Recherche au Centre Léon Bérard (CRLC Lyon)
Des équipes d’excellence : les équipes labellisées
M. Marc PIECHACZYK – PHD - chercheur CNRS – Institut de
Génétique moléculaire - Montpellier
15h00 : Echanges avec la salle
*****
15h15 : L’Aide aux malades
« Accompagner pour Aider » une priorité pour la Ligue
Mme Joëlle JACOUTON : Administratrice LCC 07
L’après cancer : réinsertion et recherche d’emploi
Docteur Pierre SALTEL – Psychiatre - Département
interdisciplinaire des soins de support du patient en oncologie
(DISSPO) :Centre Léon Bérard / Administrateur LCC07
–
DOPAS : un dispositif d’observation pour l’action sociale.
Mme Annie BARBEQUOT : Administratrice LCC07 – membre du
comité de pilotage national
15h 45 : Échanges avec la salle
16h00 : Prévenir et Dépister
Une mission à part entière pour la Ligue
Docteur Jacques DUCLIEU – Administrateur LCC07
... les perspectives pour l’avenir
Professeur Franck CHAUVIN – Directeur scientifique du Centre
Régional de Prévention des Cancers – Centre Hygée
(St Etienne) - Administrateur de la LIGUE Nationale Contre le
Cancer
16h30 : Échanges avec la salle
*****
16h 45 : S’engager bénévolement
Compétences et générosité
Mme Françoise REY - Secrétaire Générale de la Ligue contre le
Cancer de l’Ardèche (LCC07)
Portraits de bénévoles
Partenaires de la Ligue : plus forts ensemble
17h - Échanges avec la salle
17h15 : Clôture des travaux
M. Robert FESCHET - Président de la LIGUE contre le Cancer de
l’Ardèche
Mme Martine FINIELS – Vice Présidente du Conseil Général de
l’Ardèche – déléguée à la santé et solidarité.
*****
18h00 : Réception et remise des chèques aux chercheurs
soutenus par la Ligue contre le cancer
Salon des Frères Montgolfier
*****
Entrée libre – tous publics
INFO CONFERENCE : Droits des malades et fin de vie, parlons en ! [194893] posté le 24/01/2013 20:41:00 par nanon,
L’association Jalmalv-Grenoble forme et soutient une quarantaine de bénévoles qui accompagnent les personnes en fin de vie dans des établissements de la région grenobloise et très prochainement à l’hôpital de Voiron.
Elle organise, à cette occasion, une rencontre grand public sur le thème
Droit des malades et fin de vie, parlons-en !
en présence de médecins et soignants du Pays Voironnais engagés dans les soins palliatifs et de bénévoles de l’association.
lundi 5 février 2013 de 20h à 22h
à l’amphithéâtre de l’espace Cévé
58 cours Becquart Castelbon à Voiron.
Entrée libre
Contact : JALMALV Grenoble, tel : 04 76 51 08 51
Jusqu’à La Mort , Accompagner La Vie,
4 bis rue Hector Berlioz à Grenoble
L’association Jalmalv-Grenoble forme et soutient une quarantaine de bénévoles qui accompagnent les personnes en fin de vie dans des établissements de la région grenobloise et très prochainement à l’hôpital de Voiron.
Elle organise, à cette occasion, une rencontre grand public sur le thème
Droit des malades et fin de vie, parlons-en !
en présence de médecins et soignants du Pays Voironnais engagés dans les soins palliatifs et de bénévoles de l’association.
lundi 5 février 2013 de 20h à 22h
à l’amphithéâtre de l’espace Cévé
58 cours Becquart Castelbon à Voiron.
Entrée libre
Contact : JALMALV Grenoble, tel : 04 76 51 08 51
Jusqu’à La Mort , Accompagner La Vie,
4 bis rue Hector Berlioz à Grenoble
Rencontres thématiques Espace ERI Hôpital NORD MARSEILLE [194818] posté le 23/01/2013 19:02:00 par nanon,
Ces rencontres thématiques sont ouvertes à tous, patients atteints de cancer et proches.
Elles ont lieu :
- de façon mensuelle, le lundi ou le mercredi (selon les intervenants) - cf programme ci dessous
- l’après midi de 14h à 16h,
- à la salle 2 du Pavillon Etoile de l’hôpital Nord (rez de chaussée à côté de l’amphithéâtre).
Ces rencontres sont animées par des professionnels de santé : médecins, infirmier(e)s, psychologues, diététiciennes, professionnels extérieurs, membres d’association …
Elles se déroulent en deux temps : une présentation de la thématique permettant l’information, suivie ensuite d’une discussion permettant l’échange entre patients et professionnels.
PROGRAMME 2013
- Lundi 11 Février 2013 : « Gestion du stress : découverte de la sophrologie » avec Corinne Canepa – De Ranieri (sophrologue)
- Lundi 18 Mars 2013 : « Découverte du toucher-détente » avec Jean Jacques Bezelgues (IDE équipe mobile douleur - Nord)
- Mercredi 10 Avril 2013 : « Activité physique et cancer : découverte du Qi Gong » avec Philippe Dan Van Sung et Stéphanie Ranque (médecin sce Pr Duffaut - Timone)
- Lundi 27 Mai 2013 : « Etre proche, lorsque le cancer s’en mêle »
avec Lorette Proroga (Cadre sup de G.O.R - Hôpital Nord) et Odile Pichon (psychologue du Centre de Coordination en Cancérologie)
- Lundi 3 Juin 2013 : « Comment s’alimenter pendant la maladie ? » avec Nathalie Tosello (diététicienne du sce de chirurgie thoracique Pr Thomas - Nord) et Marjorie Spadola (diététicienne du sce de radiothérapie Nord) et Odile Pichon (psychologue du 3C)
- Lundi 23 Septembre 2013 : « Emploi et cancer »
avec Halleme Royere, Anne-Marie Riebel (Assistantes sociales CARSAT) et Odile Pichon (psychologue 3C)
- Mercredi 9 Octobre 2013 : « Prendre soin de sa féminité pendant et après un cancer » Avec Estelle Rieu (socio-esthéticienne) et Marie-Ange Grimaldi (psychologue EMSP)
- Mercredi 20 Novembre 2013 : « Vivre après le cancer » avec la participation de la Ligue contre le cancer BdR et un(e) psychologue du réseau ILHUP
- Mercredi 11 Décembre 2013 : « L’acupuncture pour soulager »
avec Sydney Melka (IADE–Algologue–Sce du Pr O. Paut - Timone enfants) et un(e) psychologue
Pour plus de renseignements ou pour vous inscrire: veuillez contacter l’accompagnatrice en santé, Catherine Bordala, par téléphone au 04 91 96 84 24 ou par email : eri@ap-hm.fr
Ces rencontres thématiques sont ouvertes à tous, patients atteints de cancer et proches.
Elles ont lieu :
- de façon mensuelle, le lundi ou le mercredi (selon les intervenants) - cf programme ci dessous
- l’après midi de 14h à 16h,
- à la salle 2 du Pavillon Etoile de l’hôpital Nord (rez de chaussée à côté de l’amphithéâtre).
Ces rencontres sont animées par des professionnels de santé : médecins, infirmier(e)s, psychologues, diététiciennes, professionnels extérieurs, membres d’association …
Elles se déroulent en deux temps : une présentation de la thématique permettant l’information, suivie ensuite d’une discussion permettant l’échange entre patients et professionnels.
PROGRAMME 2013
- Lundi 11 Février 2013 : « Gestion du stress : découverte de la sophrologie » avec Corinne Canepa – De Ranieri (sophrologue)
- Lundi 18 Mars 2013 : « Découverte du toucher-détente » avec Jean Jacques Bezelgues (IDE équipe mobile douleur - Nord)
- Mercredi 10 Avril 2013 : « Activité physique et cancer : découverte du Qi Gong » avec Philippe Dan Van Sung et Stéphanie Ranque (médecin sce Pr Duffaut - Timone)
- Lundi 27 Mai 2013 : « Etre proche, lorsque le cancer s’en mêle »
avec Lorette Proroga (Cadre sup de G.O.R - Hôpital Nord) et Odile Pichon (psychologue du Centre de Coordination en Cancérologie)
- Lundi 3 Juin 2013 : « Comment s’alimenter pendant la maladie ? » avec Nathalie Tosello (diététicienne du sce de chirurgie thoracique Pr Thomas - Nord) et Marjorie Spadola (diététicienne du sce de radiothérapie Nord) et Odile Pichon (psychologue du 3C)
- Lundi 23 Septembre 2013 : « Emploi et cancer »
avec Halleme Royere, Anne-Marie Riebel (Assistantes sociales CARSAT) et Odile Pichon (psychologue 3C)
- Mercredi 9 Octobre 2013 : « Prendre soin de sa féminité pendant et après un cancer » Avec Estelle Rieu (socio-esthéticienne) et Marie-Ange Grimaldi (psychologue EMSP)
- Mercredi 20 Novembre 2013 : « Vivre après le cancer » avec la participation de la Ligue contre le cancer BdR et un(e) psychologue du réseau ILHUP
- Mercredi 11 Décembre 2013 : « L’acupuncture pour soulager »
avec Sydney Melka (IADE–Algologue–Sce du Pr O. Paut - Timone enfants) et un(e) psychologue
Pour plus de renseignements ou pour vous inscrire: veuillez contacter l’accompagnatrice en santé, Catherine Bordala, par téléphone au 04 91 96 84 24 ou par email : eri@ap-hm.fr
PROGRAMME DES CONFERENCES Espace ERI CLB LYON : 1er semestre 2013 [194812] posté le 23/01/2013 18:30:00 par nanon,
Radiothérapie
Jeudi 21 février 2013 – 14h30 – Salle ONCORA
Intervenant : Dr Christian CARRIE, Coordonnateur Service de
Droits et devoirs des patients
Jeudi 11 avril 2013 – 15h – Salle ONCORA
Intervenante : Bérénice CAMHI, juriste Centre Léon Bérard
Chirurgie réparatrice après cancer du sein
Lundi 13 mai 2013 – 18h – Salles multimédias
Intervenant : Dr Emmanuel DELAY, Unité de chirurgie réparatrice
L’homéopathie, soin de support en oncologie ?
Jeudi 27 juin 2013 – 16h – Salles multimédias
Intervenant : Dr Christelle BESNARD CHARVET, gynécologue
Les rendez-vous de l'ERI (mois de mars) : http://www.centreleonberard.fr/Portals/0/Espace%20patients/2013_programme%20ERI.pdf
Pour tout renseignement :
Dominique CORDIER
Accompagnatrice en Santé
Espace Rencontres et Information ERI
Centre Léon Bérard
28 rue Laennec
69373 LYON CEDEX 08
Tel : 04 78 78 28 64
Courriel : dominique.cordier@lyon.unicancer.fr
Radiothérapie
Jeudi 21 février 2013 – 14h30 – Salle ONCORA
Intervenant : Dr Christian CARRIE, Coordonnateur Service de
Droits et devoirs des patients
Jeudi 11 avril 2013 – 15h – Salle ONCORA
Intervenante : Bérénice CAMHI, juriste Centre Léon Bérard
Chirurgie réparatrice après cancer du sein
Lundi 13 mai 2013 – 18h – Salles multimédias
Intervenant : Dr Emmanuel DELAY, Unité de chirurgie réparatrice
L’homéopathie, soin de support en oncologie ?
Jeudi 27 juin 2013 – 16h – Salles multimédias
Intervenant : Dr Christelle BESNARD CHARVET, gynécologue
Les rendez-vous de l'ERI (mois de mars) : http://www.centreleonberard.fr/Portals/0/Espace%20patients/2013_programme%20ERI.pdf
Pour tout renseignement :
Dominique CORDIER
Accompagnatrice en Santé
Espace Rencontres et Information ERI
Centre Léon Bérard
28 rue Laennec
69373 LYON CEDEX 08
Tel : 04 78 78 28 64
Courriel : dominique.cordier@lyon.unicancer.fr
EXPOSITION " 100 SEINS POUR LA LUTTE CONTRE LE CANCER " [194810] posté le 23/01/2013 18:05:00 par nanon,
Du 7 au 25 janvier 2013
CLAIRE CHOQUET sculptrice sur céramique EXPOSE
" 100 SEINS POUR LA LUTTE CONTRE LE CANCER "
à la MJC DU VIEUX LYON
Face à la cathédrale SAINT JEAN - 69005
Une démarche mêlant ses valeurs et son travail de sculpture qui a conduit 100 femmes à venir immortaliser cette partie de leur corps dans son atelier de Toussieu.
LES BENEFICES SERONT REVERSES AU COMITE DU RHONE DE LA LIGUE CONTRE LE CANCER
Jours et horaires d’ouverture :
Lundi : 14h à 21h
Mardi : 10h à 12h - 16h à 21h.
Mercredi : 9h à 12h - 14h à 21h
Jeudi et Vendredi : 10h à 12h - 14h à 21h
Samedi : 9h à 12h - 14h à 18h
Renseignements et contact :
Entre Claire et Terre
Claire Choquet
10 montée du Château
69780 TOUSSIEU
TEL. : 04 72 48 05 98
contact@entreclaireterre.com
Du 7 au 25 janvier 2013
CLAIRE CHOQUET sculptrice sur céramique EXPOSE
" 100 SEINS POUR LA LUTTE CONTRE LE CANCER "
à la MJC DU VIEUX LYON
Face à la cathédrale SAINT JEAN - 69005
Une démarche mêlant ses valeurs et son travail de sculpture qui a conduit 100 femmes à venir immortaliser cette partie de leur corps dans son atelier de Toussieu.
LES BENEFICES SERONT REVERSES AU COMITE DU RHONE DE LA LIGUE CONTRE LE CANCER
Jours et horaires d’ouverture :
Lundi : 14h à 21h
Mardi : 10h à 12h - 16h à 21h.
Mercredi : 9h à 12h - 14h à 21h
Jeudi et Vendredi : 10h à 12h - 14h à 21h
Samedi : 9h à 12h - 14h à 18h
Renseignements et contact :
Entre Claire et Terre
Claire Choquet
10 montée du Château
69780 TOUSSIEU
TEL. : 04 72 48 05 98
contact@entreclaireterre.com
A voir si vous le désirez... [194807] posté le 23/01/2013 17:55:00 par nanon,
Un reportage diffusé récemment par La rédaction d'Allodocteurs.fr : « Métastases, le cancer propagé »
• Cancer infiltrant, invasif ou métastatique ?
Michel Cymes et Marina Carrère d'Encausse expliquent les métastases.
• Le traitement des métastases par cryothérapie
• Le traitement des métastases par radiofréquence
• Éliminer une métastase sans incision
• La cimentoplastie des métastases osseuses
• En savoir plus
Questions/réponses :
- Pourquoi les métastases n'apparaissent-elles que plusieurs années après une opération ou une chimio ?
- Quels cancers ont le plus tendance à métastaser ?
- Est-ce que "métastase dans le foie" signifie "cancer du foie" ?
- Lorsque la métastase est installée, le cancer peut-il encore être guéri ?
- Lorsque le diagnostic de tumeur maligne est posé, peut-on prévenir la survenue de métastases ?
- Quelle est la différence entre métastases et nodules du poumon ?
- Comment une métastase peut-elle migrer d'un organe à un autre ?
- Après un cancer du sein traité, suis-je susceptible de développer encore des métastases ?
Quand peut-on affirmer qu'il n'y a plus de risque de développer des métastases ?
- Peut-on découvrir des métastases sans avoir identifié le cancer primitif ?
- Comment distinguer le cancer primitif des métastases ?
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-metastases-le-cancer-propage-4161.asp
Un reportage diffusé récemment par La rédaction d'Allodocteurs.fr : « Métastases, le cancer propagé »
• Cancer infiltrant, invasif ou métastatique ?
Michel Cymes et Marina Carrère d'Encausse expliquent les métastases.
• Le traitement des métastases par cryothérapie
• Le traitement des métastases par radiofréquence
• Éliminer une métastase sans incision
• La cimentoplastie des métastases osseuses
• En savoir plus
Questions/réponses :
- Pourquoi les métastases n'apparaissent-elles que plusieurs années après une opération ou une chimio ?
- Quels cancers ont le plus tendance à métastaser ?
- Est-ce que "métastase dans le foie" signifie "cancer du foie" ?
- Lorsque la métastase est installée, le cancer peut-il encore être guéri ?
- Lorsque le diagnostic de tumeur maligne est posé, peut-on prévenir la survenue de métastases ?
- Quelle est la différence entre métastases et nodules du poumon ?
- Comment une métastase peut-elle migrer d'un organe à un autre ?
- Après un cancer du sein traité, suis-je susceptible de développer encore des métastases ?
Quand peut-on affirmer qu'il n'y a plus de risque de développer des métastases ?
- Peut-on découvrir des métastases sans avoir identifié le cancer primitif ?
- Comment distinguer le cancer primitif des métastases ?
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-metastases-le-cancer-propage-4161.asp
2 eme chimio [194290] posté le 16/01/2013 13:04:00 par mamied44,
Ce jour là 3 infirmieres ont voulu poser ma perf sans y arriver un medecin anesthesiste a ete appele et lui a tenter de mettre la chimio ,il m'a piquer et repiquer ,et moi je me torturai de douleur ,reclamant un produit pour me soulager,il ne m'a pas enttendu ,je suis revenu avec mon sein bleu marine ,large comme ma main et sans chimio,tromatiser et j'avais mal tres mal,personne ne m'a donner de conseils pour la douleur.
Ce monsieur n'aurai pas fait a son chien ce qu'il mà fait car il l'aurai mordu .La douleur parlons en ,?.
Repose de site ,3 eme chimio ' celle ci passer normal ,sauf que dans mon repas j'ai trouve un pansement de 5 cms sur 3 cms, ne rier pas ,l'infirmere l'à mit dans un gaz pour le porter au directeur.
4 eme chimio ,là difficulter site de nouveau pas en place et là l'infirmier n'à rien trouve de mieux que de me passer du liquide dans le bras ,donc radio ,kine pour drainage lymphatique
Avez vous subit cela les unes ou les autres ?
Je suis longue ,toutes mes exuses et la radio therapie ,j'ai ete brule et rebrule ,le sein en ballon de foot.
Je vous la bise a toutes.
Denise
Ce monsieur n'aurai pas fait a son chien ce qu'il mà fait car il l'aurai mordu .La douleur parlons en ,?.
Repose de site ,3 eme chimio ' celle ci passer normal ,sauf que dans mon repas j'ai trouve un pansement de 5 cms sur 3 cms, ne rier pas ,l'infirmere l'à mit dans un gaz pour le porter au directeur.
4 eme chimio ,là difficulter site de nouveau pas en place et là l'infirmier n'à rien trouve de mieux que de me passer du liquide dans le bras ,donc radio ,kine pour drainage lymphatique
Avez vous subit cela les unes ou les autres ?
Je suis longue ,toutes mes exuses et la radio therapie ,j'ai ete brule et rebrule ,le sein en ballon de foot.
Je vous la bise a toutes.
Denise
sandrine0306 [194242] posté le 15/01/2013 17:03:00 par fleurdemai,
Dis ma jolie , nous comprenons les messages !! pas la peine d'en mettre autant ........................
suite de mon histoire [194238] posté le 15/01/2013 16:48:00 par mamied44,
Comme vous le pensez je n'est pas attendu Juillet ,j'ai consulte un gyneco ,et de suite tout a ete fait,dans un premier temps ,une biopsie et là une attente interminale ,et au bout de 3 semaines environ une bombe ,cancer infiltrant ,invasif ,je voudrai savoir si d'autres ont eu la meme reaction que moi , me voila incapable de telephoner, de faire a manger les courses ,je suis deconnecter.je perds tout ,apres le medecin , a pris pour moi des RDV,des papiers m'ont ete remit j'ai tout mit dans un sac sans les regarder ,et le pire j'etait meme dans l'incapacite de pleurer.Apres la pose du site 1ere chimio et là une histoire sans parole ,bonjour et s'est tout ,une infirmiere passe me touche le site ;une deuxieme ,une troisieme et là celle ci a une langue,pour me dire votre site est mal positionné ,commence a poser ma perf ,me fait mal et declare ceci est de votre faute ,il ne fallait pas mettre le patch antidouleur sitot ,ouf elle y est arrive ,comme la machine sonne ,les infirmieres passent et repassent tjrs sans un mot
Je suis rentre chez moi ,apres avoir passe 6 heures au centre.
A demain
Je suis rentre chez moi ,apres avoir passe 6 heures au centre.
A demain
mamied44 [194041] posté le 11/01/2013 19:39:00 par SunnyLife,
Pour ta fiche, tu as en clique en haut à droite sur mon compte.
Elle apparaîtra prête à compléter. Si tu veux que les autres puissent la lire, fais attention à ne pas cocher Ne pas afficher mes informations personnelles.
Elle apparaîtra prête à compléter. Si tu veux que les autres puissent la lire, fais attention à ne pas cocher Ne pas afficher mes informations personnelles.
un petit bout de mon histoire [194040] posté le 11/01/2013 19:33:00 par mamied44,
Fin 2011 mon sein change de forme ,je le trouve bizard ,Janvier 2012 je prends RDV dans le cadre de Cap sante ,2 radiologues ont vue mes radios pour eux tout est normal ,Fevrier je me trouve une petite boule qui etait peut etre là avant apres tout ,mais mon sein grossi et deborde de nom soutif et une nuit je reve que j'ai un cancer ,alors là je fonce chez mon medecin traitant pour lui faire part de mes soucis .Dans ma famille je n'en ai parle a personne et pourtant j'ai une fille infirmiere,meme pas a mon mari,nous etions rendu en Mars
De suite apres palpation ,mon medecin me prend un RDV pour une mamo ,là la radiologue me declare ,vous avez une tumeur mais elle n'a pas une tete mechante ,me donne un RDV pour Juillet.
De retour a la maison ,j'ai mis toute ma famille au courant ,en bravant pour n'affoler personnes,je n'etait pas rassurer du tout et le soir je touchait cette boule et pensant peut etre qu'elle allait disparaitre.
Pour ce soir j'arrete là ,la suite ne va pas etre banal ,avec mes aventures
Bonsoir a toutes
De suite apres palpation ,mon medecin me prend un RDV pour une mamo ,là la radiologue me declare ,vous avez une tumeur mais elle n'a pas une tete mechante ,me donne un RDV pour Juillet.
De retour a la maison ,j'ai mis toute ma famille au courant ,en bravant pour n'affoler personnes,je n'etait pas rassurer du tout et le soir je touchait cette boule et pensant peut etre qu'elle allait disparaitre.
Pour ce soir j'arrete là ,la suite ne va pas etre banal ,avec mes aventures
Bonsoir a toutes
merci [194039] posté le 11/01/2013 19:11:00 par mamied44,
Pour vos reponse ,mais je suis bete je ne sais pas ou prendre ma fiche pour ecrire mon histoire.
Veuillez SVP reseingner une ignorante
Bise a toutes
Denise
Veuillez SVP reseingner une ignorante
Bise a toutes
Denise
mamied44 [194033] posté le 11/01/2013 18:01:00 par SunnyLife,
Raconte tout ce que tu as envie de dire sur ton histoire. C'est bon de pouvoir parler à celle qui comprennent ce qui t'arrive.
Si tu veux, mets ton histoire sur ta fiche pour que les autres puissent la consulter, car dans le forum, au bout de quelques jours, elle se noient dans tous les posts.
Si tu veux, mets ton histoire sur ta fiche pour que les autres puissent la consulter, car dans le forum, au bout de quelques jours, elle se noient dans tous les posts.
mami44' [194024] posté le 11/01/2013 12:00:00 par fanfan92
j'ai hate de te lire, nous avons toutes notre place ici et souvent nos histoires font écho dans nos vies
a bientot fanfan
a bientot fanfan
ecrire [194023] posté le 11/01/2013 10:58:00 par mamied44,
Bonjour a celles qui me liront,j'aimerai moi aussi ecrire ce qui m'est arrive ,je pense que cela me ferai du bien ,mais je ne sais pas comment m'y prendre ,ecrire juste pour le forum pas un roman ,mais mon histoire ,ceci me permettrai de savoir si ce que j'ai vecu est arrive a d'autres.
Merci pour vos reponses.
Denise
Merci pour vos reponses.
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