Cancer du sein et sexualité [Poster un message]
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coco63 [201758] posté le 27/06/2013 09:41:00 par fleursdeschamps
super cadeau!!! prends les bonheurs de la vie, tu es aussi belle à l intérieur qu'à l extérieur, ton joli sourire et l énergie que tu dégages, c est ce qui fait ton charme miss Coco
Pour toi, Coco63 [201757] posté le 27/06/2013 09:24:00 par Flany,
Bonjour jolie Coco, je viens de lire ton post et ton bonheur à "croquer" de nouveau la vie fait du bien à lire. On dirait que Cupidon est passé te dire que pendant et/ou après cette tourmente du cancer, la vie peut nous apporter des trésors de bien-être, de complicité, de désir et de plaisir aussi. Nous restons "femme" avant tout et c'est un point d'honneur qu'il est bon de se rappeler pour avancer et continuer à savourer le meilleur de la vie. Ton sourire, ah ! oui ton joli sourire est communicatif et bien sûr, ne doit pas laisser insensible...celui qui fait battre ton cœur et vibrer ton corps. Je te souhaite plein, plein de bonheur et continue de goûter à tous les "plaisirs" de la vie. A RENOUVELER L'ORDONNANCE AUSSI SOUVENT QUE POSSIBLE ET A CONSOMMER SANS MODERATION. Parole d'impatiente. Gros bisous ma belle et sois très heureuse. Il ne faut pas que le bonheur nous fasse peur...nous devons lui ouvrir nos bras et notre cœur en continuant de l'apprivoiser. Je t'embrasse très fort. Flany
coco63 [201755] posté le 27/06/2013 00:05:00 par anyri***,
Comme dit Madinia "Carpe diem.."et vive la vie! et ... ton sourire chaque fois me reconforte...Bises
Coco [201752] posté le 26/06/2013 23:19:00 par madinina,
Et oui, la vie est belle, profite de tout petite fée! La maladie ne nous change pas vraiment, nous restons des femmes, aptes au plaisir et au bonheur! Carpe diem...
Je t'embrasse bien fort
Je t'embrasse bien fort
Coucou [201750] posté le 26/06/2013 22:33:00 par coco63,
C'est la première fois que je postedans cette rubrique!!!!!!!!!!!Ben savez quoi les filles : mon corps vibre encore!!!!!!!!!Merci à lui de sa patience de sa délicatesse...j'ai eu si peur de faire voir mon sein malade, et en plus je n'ai plus aucune "réaction" sur celui ci est ce normal???Bref je me suis sentie FEMME et celà depuis si longtemps!!!!!!!!!!!Je vous le souhaite à toutes!!!Sera t'il mon prince charmant??? j'en suis moins sûre
Bisous vive la vie
Bisous vive la vie
Entretien ? [199506] posté le 13/05/2013 09:56:00 par Anne37,
Bonjour,
Journaliste pour le magazine Maxi, je prépare un article sur la sexualité des femmes après 50 ans. Certains évènements de la vie (rupture sentimentale, divorce, ménopause, maladie) font que certaines d'entre nous mettons notre sexualité de côté et avons parfois du mal à réinvestir ce domaine... Je recherche un témoignage - totalement anonyme - d'une femme acceptant de me parler des modifications de sa sexualité après sa maladie : ce qui s'est passé, quelles solutions elle a trouvées si toutefois elle a pu remédier à cette perte de désir ou à ces difficultés à réinvestir sa sexualité...
Je vous remercie et vous souhaite une bonne journée,
Anne
Journaliste pour le magazine Maxi, je prépare un article sur la sexualité des femmes après 50 ans. Certains évènements de la vie (rupture sentimentale, divorce, ménopause, maladie) font que certaines d'entre nous mettons notre sexualité de côté et avons parfois du mal à réinvestir ce domaine... Je recherche un témoignage - totalement anonyme - d'une femme acceptant de me parler des modifications de sa sexualité après sa maladie : ce qui s'est passé, quelles solutions elle a trouvées si toutefois elle a pu remédier à cette perte de désir ou à ces difficultés à réinvestir sa sexualité...
Je vous remercie et vous souhaite une bonne journée,
Anne
De la séduction des amazones, suite [197642] posté le 29/03/2013 17:23:00 par carpe_diem
Bonjour à toutes,
merci pour vos réponses, je ne suis pas venue sur le forum depuis longtemps, j'avais beaucoup de travail !
Pour répondre à Kamelote, j'ai toujours su me regarder dans un miroir sans mon sein, et ce dès le lendemain de l'ablation, alors que j'étais encore à la clinique. J'ai versé quelques larmes, ça a duré 5 minutes et puis voilà, je me suis habituée à ce corps sans difficulté. Cela ne me pose aucun problème de me voir nue, je ne suis ni choquée, ni triste : il fallait en enlever ce sein, je suis en vie, et c'est tout ce qui compte. Je n'ai rien changé à mes tenues vestimentaires : comme avant, je mets des vêtements moulants, comme avant je mets des débardeurs. Et comme avant, je mets des maillots deux pièces achetés dans ces magasins de lingerie qu'on trouve dans toutes les rues commerçantes de France. Finalement, je n'ai pas changé, je suis toujours aussi féminine quand j'en ai envie, avec talons hauts, petites robes, maquillage, coiffure et tous ces petits riens exclusivement féminins comme dit la chanson.
Donc, pour résumer, moi avec moi-même, ça va très bien.
C'est vraiment la peur de commencer une nouvelle liaison avec un homme, et de me montrer nue, qui me pose problème. La question qui me taraude : suis-je encore désirable? Le noeud du problème est là.
Je me sens physiquement amoindrie et affectivement fragile. Difficile dans ces conditions d'envisager une rencontre.
Mais je te rejoins Kamelote, tout ça c'est dans la tête : c'est aussi notre confiance en nous qui nous rend belles et rayonnantes.
Je pense aussi bien-sûr à la reconstruction pour répondre à Anso et Sunny Life. Cela me fera beaucoup de bien moralement. Enfin Anso, complètement d'accord avec toi : je ne veux pas faner. Et j'ai encore envie d'aimer, c'est d'ailleurs pour cela que je me pose des questions. Peut-être qu'il serait temps que j'agisse, et que je redonne à la séductrice et à la conquérante qui sont en moi le rôle qu'elles méritent :-)
Merci à vous pour votre soutien !
A bientôt !
merci pour vos réponses, je ne suis pas venue sur le forum depuis longtemps, j'avais beaucoup de travail !
Pour répondre à Kamelote, j'ai toujours su me regarder dans un miroir sans mon sein, et ce dès le lendemain de l'ablation, alors que j'étais encore à la clinique. J'ai versé quelques larmes, ça a duré 5 minutes et puis voilà, je me suis habituée à ce corps sans difficulté. Cela ne me pose aucun problème de me voir nue, je ne suis ni choquée, ni triste : il fallait en enlever ce sein, je suis en vie, et c'est tout ce qui compte. Je n'ai rien changé à mes tenues vestimentaires : comme avant, je mets des vêtements moulants, comme avant je mets des débardeurs. Et comme avant, je mets des maillots deux pièces achetés dans ces magasins de lingerie qu'on trouve dans toutes les rues commerçantes de France. Finalement, je n'ai pas changé, je suis toujours aussi féminine quand j'en ai envie, avec talons hauts, petites robes, maquillage, coiffure et tous ces petits riens exclusivement féminins comme dit la chanson.
Donc, pour résumer, moi avec moi-même, ça va très bien.
C'est vraiment la peur de commencer une nouvelle liaison avec un homme, et de me montrer nue, qui me pose problème. La question qui me taraude : suis-je encore désirable? Le noeud du problème est là.
Je me sens physiquement amoindrie et affectivement fragile. Difficile dans ces conditions d'envisager une rencontre.
Mais je te rejoins Kamelote, tout ça c'est dans la tête : c'est aussi notre confiance en nous qui nous rend belles et rayonnantes.
Je pense aussi bien-sûr à la reconstruction pour répondre à Anso et Sunny Life. Cela me fera beaucoup de bien moralement. Enfin Anso, complètement d'accord avec toi : je ne veux pas faner. Et j'ai encore envie d'aimer, c'est d'ailleurs pour cela que je me pose des questions. Peut-être qu'il serait temps que j'agisse, et que je redonne à la séductrice et à la conquérante qui sont en moi le rôle qu'elles méritent :-)
Merci à vous pour votre soutien !
A bientôt !
carpe_diem [195503] posté le 05/02/2013 14:29:00 par anso91
Comme c'est totalement légitime les questions que tu te poses!
Tu sais, j'ai eu une mastectomie partielle (mon sein est 'aveugle'!) et il se trouve que je suis mariée et que tout va bien.
Mais au moment de l'épreuve, j'ai entendu la même petit voix que toi, exactement la même, avec un petit 'si ton mari te quittait' juste avant! Alors je n'ai pas vraiment de réponse pour toi. Personnellement, je me serais fait reconstruire si j'avais eu une mastectomie totale. Et avec mon sein aveugle -qui devrait être tatoué un jour, mais plus tard et ça reste quand même différent-, je pense que si j'avais un jour à devoir être à nouveau dans la séduction, je finirai par dire que j'ai eu cette maladie. je ne sais pas à quel stade de la relation, mais pas dés le début et certainement pas juste avant de me déshabiller! Quelque part entre les deux, quand on se fait des confidences déjà. Je pense que c'est nécessaire. Quand une relation se passe vraiment bien, on est presqu'obligée de confier ce passage de notre vie si marquant. Et là, il sera peut-être temps de signifier (sans pour autan dire crument) les traces que cela a laissé sur ton corps. L'un peut fuir, mais je pense que bien d'autres resteront!
je t'embrasse bien fort et surtout, comme le dit kamelote: ne t'interdis pas d'aimet et de séduire -c'est un besoin, une nécessite, sinon, telle une fleur, tu vas fâner ;o)
Tu sais, j'ai eu une mastectomie partielle (mon sein est 'aveugle'!) et il se trouve que je suis mariée et que tout va bien.
Mais au moment de l'épreuve, j'ai entendu la même petit voix que toi, exactement la même, avec un petit 'si ton mari te quittait' juste avant! Alors je n'ai pas vraiment de réponse pour toi. Personnellement, je me serais fait reconstruire si j'avais eu une mastectomie totale. Et avec mon sein aveugle -qui devrait être tatoué un jour, mais plus tard et ça reste quand même différent-, je pense que si j'avais un jour à devoir être à nouveau dans la séduction, je finirai par dire que j'ai eu cette maladie. je ne sais pas à quel stade de la relation, mais pas dés le début et certainement pas juste avant de me déshabiller! Quelque part entre les deux, quand on se fait des confidences déjà. Je pense que c'est nécessaire. Quand une relation se passe vraiment bien, on est presqu'obligée de confier ce passage de notre vie si marquant. Et là, il sera peut-être temps de signifier (sans pour autan dire crument) les traces que cela a laissé sur ton corps. L'un peut fuir, mais je pense que bien d'autres resteront!
je t'embrasse bien fort et surtout, comme le dit kamelote: ne t'interdis pas d'aimet et de séduire -c'est un besoin, une nécessite, sinon, telle une fleur, tu vas fâner ;o)
carpe_diem [195499] posté le 05/02/2013 13:44:00 par SunnyLife,
Accepter ce corps mutilé, c'est pas si facile. Après la double mastectomie, j'ai tant souffert que mon premier sentiment était de rester comme ça... Je m'occupais bien de ma peau, mes cicatrices, mon buste, mais j'ai continué à détester cette image. Et j'ai donc décidé de faire la reconstruction. C'est une nouvelle épreuve après tout le reste. Ce n'est pas des vrais seins, mais ça me satisfait pleinement.
Pour que tu puisse à nouveau séduire, il faut que tu te sentes à nouveau bien avec ton image, et donc trouve la solution qui te convient personnellement pour y parvenir.
Pour que tu puisse à nouveau séduire, il faut que tu te sentes à nouveau bien avec ton image, et donc trouve la solution qui te convient personnellement pour y parvenir.
Carpe diem [195475] posté le 05/02/2013 10:35:00 par kamelote,
Ton message m'interpelle...
Quand je lis que tu n'oses plus regarder les hommes, je dis qu'il faut que je te fasse remarquer que c'est TOI, qu'il faut oser regarder !
Honnêtement, mets toi devant un miroir, habillée avec ta "prothèse", ensuite, ôte ta prothèse, et mets toi un T-shirt moulant, retourne devant le miroir... et regarde, est-ce que cela te semble si TERRRRIBLE ?
Apprivoise ton image, la vraie et tu seras plus à l'aise devant tous ceux que tu rencontreras.
Deuxième étape, mets-toi torse nue, regarde-toi, touche ton torse, est-ce douloureux ? agréable ? veux-tu laisser ce corps qui a déjà souffert s'éteindre, s'endormir ? Ne mérite-t-il pas un peu de tendresse de douceur de caresses et d'amour ?
Tu te réfugies derrière ta prothèse, mais toi, tu as souffert et tu as des cicatrices, il faut t'y faire les accepter, et les faire tiennes.
Avant de parler de demader à un homme d'accepeter ton corps et ta réalité, fais tout, mais vraiment tout pour t'aimer telle que tu es aujourd'hui. Après ça, tout ira tout seul...
Je sais c'est facile à dire, mais vraiment si tu y parviens, tu seras belle magnifique et rayonnante et ce n'est pas toi qui devra regarder les hommes mais eux qui ne verront que toi.
Je te laisse en tête à tête avec ton miroir et tu verras qui est la plus belle ;0))
Bon courage
pensées et tendresse "maternelle"
Camille
Quand je lis que tu n'oses plus regarder les hommes, je dis qu'il faut que je te fasse remarquer que c'est TOI, qu'il faut oser regarder !
Honnêtement, mets toi devant un miroir, habillée avec ta "prothèse", ensuite, ôte ta prothèse, et mets toi un T-shirt moulant, retourne devant le miroir... et regarde, est-ce que cela te semble si TERRRRIBLE ?
Apprivoise ton image, la vraie et tu seras plus à l'aise devant tous ceux que tu rencontreras.
Deuxième étape, mets-toi torse nue, regarde-toi, touche ton torse, est-ce douloureux ? agréable ? veux-tu laisser ce corps qui a déjà souffert s'éteindre, s'endormir ? Ne mérite-t-il pas un peu de tendresse de douceur de caresses et d'amour ?
Tu te réfugies derrière ta prothèse, mais toi, tu as souffert et tu as des cicatrices, il faut t'y faire les accepter, et les faire tiennes.
Avant de parler de demader à un homme d'accepeter ton corps et ta réalité, fais tout, mais vraiment tout pour t'aimer telle que tu es aujourd'hui. Après ça, tout ira tout seul...
Je sais c'est facile à dire, mais vraiment si tu y parviens, tu seras belle magnifique et rayonnante et ce n'est pas toi qui devra regarder les hommes mais eux qui ne verront que toi.
Je te laisse en tête à tête avec ton miroir et tu verras qui est la plus belle ;0))
Bon courage
pensées et tendresse "maternelle"
Camille
De la séduction quand on est une amazone [195456] posté le 04/02/2013 23:59:00 par carpe_diem
Chère toutes,
Il me manque un sein depuis septembre 2010. A droite pour être précise. Je suis célibataire depuis peu et je me pose une question : comment fait-on pour commencer un relation avec un homme quand on est une amazone?
Avant ce cancer du sein, j'avais une part d'insouciance qui me donnait des ailes quand il s'agissait de séduire. Mais maintenant, tout est plus compliqué, et je n'ose plus rien faire, ni même rêver d'une rencontre.
Parce que dès que j'imagine qu'un jour je rencontrerai un homme et qu'une vraie belle relation pourrait naître, j'ai tout de suite une petite voix qui vient me dire à l'oreille :
- " Laisse tomber, t'as qu'un sein. Dans la journée avec ta prothèse tu caches bien la situation. Mais comment tu vas faire si ça devient plus sérieux? Tu vas lui dire quand qu'il te manque un sein? Bien avant, histoire qu'il sache d'emblée et qu'il arrête la relation s'il ne se sent pas le courage de faire face? Juste avant, quand tu sentiras que les sentiments s'installent? Ou juste au moment de te retrouver au lit? Et puis tu vas faire comment? Tu vas te montrer nue tout de suite? Tu vas laisser ton sous-tif? "
Comme vous le voyez, elle n'est pas sympa cette petite voix, et en plus elle est plutôt crue. Du coup, je ne regarde plus les hommes, et si par hasard il s'en trouve un qui ne me laisse pas indifférente, je le zappe tout de suite et je me dis :" ce n'est pas pour toi."
Alors, je voulais savoir si vous aviez aussi entendu cette petite voix. Et surtout, au cas ou vous auriez réussi à la faire taire, comment vous avez fait.
Parce que moi, j'ai 44 ans et j'ai encore envie d'aimer, d'être aimée, regardée et désirée. Parce que la vie c'est ça aussi.
Merci pour votre aide,
Haut les coeurs !
Gardez l'espoir, gardez la force.
Il me manque un sein depuis septembre 2010. A droite pour être précise. Je suis célibataire depuis peu et je me pose une question : comment fait-on pour commencer un relation avec un homme quand on est une amazone?
Avant ce cancer du sein, j'avais une part d'insouciance qui me donnait des ailes quand il s'agissait de séduire. Mais maintenant, tout est plus compliqué, et je n'ose plus rien faire, ni même rêver d'une rencontre.
Parce que dès que j'imagine qu'un jour je rencontrerai un homme et qu'une vraie belle relation pourrait naître, j'ai tout de suite une petite voix qui vient me dire à l'oreille :
- " Laisse tomber, t'as qu'un sein. Dans la journée avec ta prothèse tu caches bien la situation. Mais comment tu vas faire si ça devient plus sérieux? Tu vas lui dire quand qu'il te manque un sein? Bien avant, histoire qu'il sache d'emblée et qu'il arrête la relation s'il ne se sent pas le courage de faire face? Juste avant, quand tu sentiras que les sentiments s'installent? Ou juste au moment de te retrouver au lit? Et puis tu vas faire comment? Tu vas te montrer nue tout de suite? Tu vas laisser ton sous-tif? "
Comme vous le voyez, elle n'est pas sympa cette petite voix, et en plus elle est plutôt crue. Du coup, je ne regarde plus les hommes, et si par hasard il s'en trouve un qui ne me laisse pas indifférente, je le zappe tout de suite et je me dis :" ce n'est pas pour toi."
Alors, je voulais savoir si vous aviez aussi entendu cette petite voix. Et surtout, au cas ou vous auriez réussi à la faire taire, comment vous avez fait.
Parce que moi, j'ai 44 ans et j'ai encore envie d'aimer, d'être aimée, regardée et désirée. Parce que la vie c'est ça aussi.
Merci pour votre aide,
Haut les coeurs !
Gardez l'espoir, gardez la force.
***** vigilence **** [195195] posté le 29/01/2013 21:17:00 par mariette,
"Diane 35 est un cas de détournement acceptéar les pouvoirs publics depuis 25 ans"
Le Monde.fr | 29.01.2013 à 17h50 • Mis à jour le 29.01.2013 à 20h42 Propos recueillis par François Béguin
Diane 35, qui est un traitement contre l'acné, a ainsi été largement largement utilisé comme contraceptif oral.
L'annonce par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) de quatre décès "imputables à une thrombose veineuse liée à Diane 35" ces vingt-cinq dernières années a mis en lumière l'usage détourné de certains médicaments. Diane 35, qui est un traitement contre l'acné, a ainsi été largement largement utilisé comme contraceptif oral : il est utilisé par 315 000 femmes.
Le docteur François Chast, directeur de la pharmacie-clinique des hôpitaux universitaires de Paris-Centre, analyse cette pratique consistant à prescrire un médicament pour un autre usage que celui pour lequel il a été officiellement mis sur le marché.
Ce type de détournement est-il fréquent ?
Il est difficile de donner des chiffres précis car, par définition, ce qui est détourné n'est pas très visible, la cause de la prescription ne figurant pas sur une ordonnance. C'est pour cela que je suis étonné que l'ANSM ait pu dire que Diane 35 avait été prescrit à 90 % dans le cadre d'un usage détourné.
Il y a des détournements qui sont des scandales en termes sanitaires et qui ne répondent pas à un besoin. Mais nous nous devons de faire la part des choses et de séparer le bon grain de l'ivraie. C'est notre devoir de scientifique de trier ce qui est intéressant, souhaitable, ou nuisible.
Quels exemples avez-vous de mauvais détournements de médicaments ?
Il y a des détournements qui sont des abus. C'est par exemple le cas du Subutex qui était à l'origine un traitement de substitution par voie orale à l'héroïne. Une étude avait montré il y a cinq ou dix ans que dans 25 % des cas, il était utilisé par injection par les toxicomanes.
Autre exemple : le Rivotril, qui avait été mis sur le marché comme un médicament antiépileptique. Il a été mis en évidence qu'il avait été utilisé dans des cas d'abus sexuels ou d'abus de confiance car combiné à une forte consommation d'alcool, il provoque une amnésie antérétrograde, empêchant ainsi les victimes d'identifier leurs agresseurs.
Par ailleurs, les cas de dopage reposent à 99,9 % sur des détournements de médicaments. L'EPO est à la base un médicament qui a changé la vie des malades insuffisants rénaux et des cancéreux atteints d'anémie. Les bétabloquants, utilisés en cardiologie, sont interdits dans tous les sports de précision car ils limitent le stress et les tremblements. La Ventoline est à la fois un bronchodilatateur et un anabolisant. Les diurétiques, conçus pour le traitement de l'hypertension artérielle, sont très largement utilisés comme des produits masquant des substances dopantes dans les urines. Pour autant, il est hors de question d'interdire la Ventoline ou l'EPO : ce sont des médicaments utiles. Ce sont les filières d'approvisionnement qu'il faut démanteler.
Le Mediator est enfin un exemple célèbre de détournement. Il y a eu beaucoup d'ambiguïtés de la part du laboratoire Servier sur ce médicament. Des témoignages attestent qu'il a été largement utilisé comme coupe-faim et non dans le traitement du diabète.
A l'inverse, quels sont les exemples de "bons" détournements ?
Il y a de nombreux exemples de détournements positifs. Je vais en citer trois.
Le Baclofène est un médicament utilisé depuis une trentaine d'années dans le traitement des maladies neuro-musculaires. Plusieurs essais cliniques ont montré qu'il avait de très bons résultats dans le traitement du sevrage alcoolique.
L'aspirine est à l'origine un médicament anti-rhumatismal. Il y a vingt-cinq ans, il est devenu un médicament cardiologique. Aujourd'hui on sait qu'il a des propriétés anti-cancéreuses, même s'il n'y a pas un seul laboratoire pharmaceutique pour financer une étude pour en faire la démonstration, puisque l'aspirine est depuis longtemps dans le domaine public.
L'Avastin est à l'origine utilisé dans le traitement des cancers colorectaux ou du poumon. Il s'avère aujourd'hui qu'il est précieux dans le traitement de certaines rétinopathies ou dégénérescences masculaires liées à l'âge.
Il y a des cas difficiles à situer, comme le Viagra, d'abord conçu pour une utilisation en cardiologie et finalement vendu pour remédier aux troubles érectiles...
On peut parler de détournement quand on travestit la réalité de l'utilisation. Dans le cas du Viagra, on a exploité un effet latéral d'un médicament conçu à l'origine pour l'hypertension. Il a été mis sur le marché pour dysfonctionnement du trouble érectile. Dans la mesure où il y a une transparence de l'industriel, on ne peut pas parler de détournement.
Quelle lecture faites-vous du cas Diane 35 ?
On nous dit que ce médicament était officiellement destiné au traitement de l'acné. Mais quand on ouvre le Vidal [dictionnaire médical], il est clairement décrit comme un médicament contraceptif. Les génériques de Diane, qui ont été approuvés par l'ANSM, incluent d'ailleurs sept jours de comprimés placebo. Le conditionnement même du produit répond aux critères d'un médicament contraceptif. Diane 35 est un cas de détournement accepté par les pouvoirs publics depuis vingt-cinq ans.
Les médecins savent bien que Diane peut avoir un double usage. S'il est bien toléré sur le plan dermatologique, on en connaît les risques vasculaires, notamment veineux.
Dans la mesure où il y a des médicaments qui répondent aux besoins sanitaires, on peut supprimer Diane et ses génériques. L'ANSM devrait donc urgemment arrêter la commercialisation de ce médicament. Chaque décès qui interviendrait maintenant serait imputable à une absence de décision gouvernementale.
Ce qui s'est passé avec Diane 35 s'est passé sous le manteau. Mais le manteau était transparent. Aujourd'hui, tout le monde crie au feu, mais avec une boîte d'allumettes à la main.
Propos recueillis par François Béguin
"Diane 35 est un cas de détournement acceptéar les pouvoirs publics depuis 25 ans"
Le Monde.fr | 29.01.2013 à 17h50 • Mis à jour le 29.01.2013 à 20h42 Propos recueillis par François Béguin
Diane 35, qui est un traitement contre l'acné, a ainsi été largement largement utilisé comme contraceptif oral.
L'annonce par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) de quatre décès "imputables à une thrombose veineuse liée à Diane 35" ces vingt-cinq dernières années a mis en lumière l'usage détourné de certains médicaments. Diane 35, qui est un traitement contre l'acné, a ainsi été largement largement utilisé comme contraceptif oral : il est utilisé par 315 000 femmes.
Le docteur François Chast, directeur de la pharmacie-clinique des hôpitaux universitaires de Paris-Centre, analyse cette pratique consistant à prescrire un médicament pour un autre usage que celui pour lequel il a été officiellement mis sur le marché.
Ce type de détournement est-il fréquent ?
Il est difficile de donner des chiffres précis car, par définition, ce qui est détourné n'est pas très visible, la cause de la prescription ne figurant pas sur une ordonnance. C'est pour cela que je suis étonné que l'ANSM ait pu dire que Diane 35 avait été prescrit à 90 % dans le cadre d'un usage détourné.
Il y a des détournements qui sont des scandales en termes sanitaires et qui ne répondent pas à un besoin. Mais nous nous devons de faire la part des choses et de séparer le bon grain de l'ivraie. C'est notre devoir de scientifique de trier ce qui est intéressant, souhaitable, ou nuisible.
Quels exemples avez-vous de mauvais détournements de médicaments ?
Il y a des détournements qui sont des abus. C'est par exemple le cas du Subutex qui était à l'origine un traitement de substitution par voie orale à l'héroïne. Une étude avait montré il y a cinq ou dix ans que dans 25 % des cas, il était utilisé par injection par les toxicomanes.
Autre exemple : le Rivotril, qui avait été mis sur le marché comme un médicament antiépileptique. Il a été mis en évidence qu'il avait été utilisé dans des cas d'abus sexuels ou d'abus de confiance car combiné à une forte consommation d'alcool, il provoque une amnésie antérétrograde, empêchant ainsi les victimes d'identifier leurs agresseurs.
Par ailleurs, les cas de dopage reposent à 99,9 % sur des détournements de médicaments. L'EPO est à la base un médicament qui a changé la vie des malades insuffisants rénaux et des cancéreux atteints d'anémie. Les bétabloquants, utilisés en cardiologie, sont interdits dans tous les sports de précision car ils limitent le stress et les tremblements. La Ventoline est à la fois un bronchodilatateur et un anabolisant. Les diurétiques, conçus pour le traitement de l'hypertension artérielle, sont très largement utilisés comme des produits masquant des substances dopantes dans les urines. Pour autant, il est hors de question d'interdire la Ventoline ou l'EPO : ce sont des médicaments utiles. Ce sont les filières d'approvisionnement qu'il faut démanteler.
Le Mediator est enfin un exemple célèbre de détournement. Il y a eu beaucoup d'ambiguïtés de la part du laboratoire Servier sur ce médicament. Des témoignages attestent qu'il a été largement utilisé comme coupe-faim et non dans le traitement du diabète.
A l'inverse, quels sont les exemples de "bons" détournements ?
Il y a de nombreux exemples de détournements positifs. Je vais en citer trois.
Le Baclofène est un médicament utilisé depuis une trentaine d'années dans le traitement des maladies neuro-musculaires. Plusieurs essais cliniques ont montré qu'il avait de très bons résultats dans le traitement du sevrage alcoolique.
L'aspirine est à l'origine un médicament anti-rhumatismal. Il y a vingt-cinq ans, il est devenu un médicament cardiologique. Aujourd'hui on sait qu'il a des propriétés anti-cancéreuses, même s'il n'y a pas un seul laboratoire pharmaceutique pour financer une étude pour en faire la démonstration, puisque l'aspirine est depuis longtemps dans le domaine public.
L'Avastin est à l'origine utilisé dans le traitement des cancers colorectaux ou du poumon. Il s'avère aujourd'hui qu'il est précieux dans le traitement de certaines rétinopathies ou dégénérescences masculaires liées à l'âge.
Il y a des cas difficiles à situer, comme le Viagra, d'abord conçu pour une utilisation en cardiologie et finalement vendu pour remédier aux troubles érectiles...
On peut parler de détournement quand on travestit la réalité de l'utilisation. Dans le cas du Viagra, on a exploité un effet latéral d'un médicament conçu à l'origine pour l'hypertension. Il a été mis sur le marché pour dysfonctionnement du trouble érectile. Dans la mesure où il y a une transparence de l'industriel, on ne peut pas parler de détournement.
Quelle lecture faites-vous du cas Diane 35 ?
On nous dit que ce médicament était officiellement destiné au traitement de l'acné. Mais quand on ouvre le Vidal [dictionnaire médical], il est clairement décrit comme un médicament contraceptif. Les génériques de Diane, qui ont été approuvés par l'ANSM, incluent d'ailleurs sept jours de comprimés placebo. Le conditionnement même du produit répond aux critères d'un médicament contraceptif. Diane 35 est un cas de détournement accepté par les pouvoirs publics depuis vingt-cinq ans.
Les médecins savent bien que Diane peut avoir un double usage. S'il est bien toléré sur le plan dermatologique, on en connaît les risques vasculaires, notamment veineux.
Dans la mesure où il y a des médicaments qui répondent aux besoins sanitaires, on peut supprimer Diane et ses génériques. L'ANSM devrait donc urgemment arrêter la commercialisation de ce médicament. Chaque décès qui interviendrait maintenant serait imputable à une absence de décision gouvernementale.
Ce qui s'est passé avec Diane 35 s'est passé sous le manteau. Mais le manteau était transparent. Aujourd'hui, tout le monde crie au feu, mais avec une boîte d'allumettes à la main.
Propos recueillis par François Béguin
Louise22, [194841] posté le 23/01/2013 23:52:00 par esmeraldaaz,
J’ai rencontré un homme voici peu de temps 10 mois... il me semblait primordial de lui faire part de mon cancer du sein,
Ce n’est ni honteux ni contagieux, La vie est si difficile quand on traverse la maladie une épaule, un soutien est presque indispensable. qu'il existe des hommes bien…. , désirée, aimée malgré la maladie. parce que la beauté ne se résume pas à une chevelure ou à un sein….ma libido au top et je suis pourtant sous tamoxifene et ménopausée depuis ma 1ère chimio..La libido c’est dans la tête, il faut se sentir belle et s’accepter;;j’aime cet homme et lui aussi ..que la vie n’est pas finie après une telle épreuve !
et que penses tu des onco sexologues dans le milieu hospitalier à ton avis,,??Franchement, je n’en sais rien ! je suis une battante comme beaucoup d’autres femmes et j’ai fait front a cette saloperie de maladie et subi tout ce qui va avec et maintenant je commence tout juste a relever la tête mais je sens que le chemin sera long….
bon courage a vous également et merci
Ce n’est ni honteux ni contagieux, La vie est si difficile quand on traverse la maladie une épaule, un soutien est presque indispensable. qu'il existe des hommes bien…. , désirée, aimée malgré la maladie. parce que la beauté ne se résume pas à une chevelure ou à un sein….ma libido au top et je suis pourtant sous tamoxifene et ménopausée depuis ma 1ère chimio..La libido c’est dans la tête, il faut se sentir belle et s’accepter;;j’aime cet homme et lui aussi ..que la vie n’est pas finie après une telle épreuve !
et que penses tu des onco sexologues dans le milieu hospitalier à ton avis,,??Franchement, je n’en sais rien ! je suis une battante comme beaucoup d’autres femmes et j’ai fait front a cette saloperie de maladie et subi tout ce qui va avec et maintenant je commence tout juste a relever la tête mais je sens que le chemin sera long….
bon courage a vous également et merci
Anso 91 [194838] posté le 23/01/2013 22:46:00 par Louise22,
Quelle spontanéité ! Merci pour ta réponse et la seule...
Pourtant nombreuses sont celles concernées par cette préoccupation j'imagine...
Bises à toi.
Pourtant nombreuses sont celles concernées par cette préoccupation j'imagine...
Bises à toi.
Louise22 [194754] posté le 22/01/2013 22:35:00 par anso91
Stérilet depuis mai 2012 -exactement ce que je ne voulais pas! ça ne me plaisait pas ce truc à l'intérieur... mais c'est bien moins moche que la chimie de la pilulle! Au final, lui et moi on cohabite très bien! Mais j'ai tellement la frousse de tomber enceinte quand même (quelques cas autour de moi malgré un stérilet au cuivre), et ce serait le pompom dans ce parcours de devoir faire une IMG, qu'on utilise aussi des préservatifs ;o) on n'est jamais trop prudents! Enfin je sais pas si mon homme acceptera ça pendant 7 ans, et peut-être que je me détendrai sur la question moi aussi! Je précise que j'ai retrouvé mes cycles depuis qq mois.
Bises
Bises
recherche témoignages sur moyens de contraception [194747] posté le 22/01/2013 22:01:00 par Louise22,
J'ai 38 ans et depuis la découverte de mon cancer du sein, j'ai arrêté comme beaucoup d'impatientes la pilule, et ce désormais à vie puisque mon cancer était hormono dépendant.
Je commence une relation sentimentale depuis peu et n'ai pas revu ma gynéco depuis plus d'un an.
La radiothérapeute m'a dit que malgré l'absence de règles depuis juin 2012, je pouvais "tomber enceinte" en cas de rapports non protégés.
Aussi, nous utilisons pour le moment le préservatif.
Je m'interroge sur d'autres moyens de contraception comme le stérilet et aimerais avoir vos expériences...
(Perso, je ne souhaite pas de stérilisation définitive pour le moment !!! ).
Merci d'avance et à bientôt de vous lire.
Bises
Je commence une relation sentimentale depuis peu et n'ai pas revu ma gynéco depuis plus d'un an.
La radiothérapeute m'a dit que malgré l'absence de règles depuis juin 2012, je pouvais "tomber enceinte" en cas de rapports non protégés.
Aussi, nous utilisons pour le moment le préservatif.
Je m'interroge sur d'autres moyens de contraception comme le stérilet et aimerais avoir vos expériences...
(Perso, je ne souhaite pas de stérilisation définitive pour le moment !!! ).
Merci d'avance et à bientôt de vous lire.
Bises
suite pour aurelpsycho [194729] posté le 22/01/2013 18:05:00 par mariette,
oui mais encore ?
"J'ai l'espoir qu'un jour, médecins et psychologues, soient mieux formés et plus aptes à répondre à cette réelle demande sexologique."
s o i g n e r
=
m u t i l e r
1) on commence par trouver un vrai plan cancer et non par faire des coups d'annonces des progrès etc...(mutiler ça fait partie des progrès dans le cancer!)
2) sauf à avoir des personnes-bénévoles qui donnent un peu de leur affect et de la sensualité auprès des malades, je ne vois pas où
vous nous embarquez,
mes excuses pour le franc parler mais soigner ce n'est pas mutiler et les patientes sont bien gentilles bien trop gentilles....
"J'ai l'espoir qu'un jour, médecins et psychologues, soient mieux formés et plus aptes à répondre à cette réelle demande sexologique."
s o i g n e r
=
m u t i l e r
1) on commence par trouver un vrai plan cancer et non par faire des coups d'annonces des progrès etc...(mutiler ça fait partie des progrès dans le cancer!)
2) sauf à avoir des personnes-bénévoles qui donnent un peu de leur affect et de la sensualité auprès des malades, je ne vois pas où
vous nous embarquez,
mes excuses pour le franc parler mais soigner ce n'est pas mutiler et les patientes sont bien gentilles bien trop gentilles....
suite pour aurelpsycho [194730] posté le 22/01/2013 18:05:00 par mariette,
oui mais encore ?
"J'ai l'espoir qu'un jour, médecins et psychologues, soient mieux formés et plus aptes à répondre à cette réelle demande sexologique."
s o i g n e r
=
m u t i l e r
1) on commence par trouver un vrai plan cancer et non par faire des coups d'annonces des progrès etc...(mutiler ça fait partie des progrès dans le cancer!)
2) sauf à avoir des personnes-bénévoles qui donnent un peu de leur affect et de la sensualité auprès des malades, je ne vois pas où
vous nous embarquez,
mes excuses pour le franc parler mais soigner ce n'est pas mutiler et les patientes sont bien gentilles bien trop gentilles....
"J'ai l'espoir qu'un jour, médecins et psychologues, soient mieux formés et plus aptes à répondre à cette réelle demande sexologique."
s o i g n e r
=
m u t i l e r
1) on commence par trouver un vrai plan cancer et non par faire des coups d'annonces des progrès etc...(mutiler ça fait partie des progrès dans le cancer!)
2) sauf à avoir des personnes-bénévoles qui donnent un peu de leur affect et de la sensualité auprès des malades, je ne vois pas où
vous nous embarquez,
mes excuses pour le franc parler mais soigner ce n'est pas mutiler et les patientes sont bien gentilles bien trop gentilles....
**** cancer et sexualité *** [194727] posté le 22/01/2013 17:56:00 par mariette,
Intéressante problématique
à laquelle je réponds par une boutade non moins intéressante quand on la travaille un tant soit peu.
je vous la soumets:
Quand Dieu créa le monde,
il promit aux femmes de leur donner des amants à la sensualité non intéressée et à l'écoute de leurs partenaires, des maris gentils, affectueux, patients, doués et sympas aux quatre coins du monde,
puis il fit la terre ronde!
Cherchez l'erreur (avec ou sans cancer)
à laquelle je réponds par une boutade non moins intéressante quand on la travaille un tant soit peu.
je vous la soumets:
Quand Dieu créa le monde,
il promit aux femmes de leur donner des amants à la sensualité non intéressée et à l'écoute de leurs partenaires, des maris gentils, affectueux, patients, doués et sympas aux quatre coins du monde,
puis il fit la terre ronde!
Cherchez l'erreur (avec ou sans cancer)
Votre mot à dire [193606] posté le 06/01/2013 19:25:00 par aurelpsycho,
Bonjour à toutes,
Je suis étudiante en Master de Psychologie.Je suis également en cours d'obtention d'un Diplome Universitaire de psycho-sexologie, dispensé par l'Université Paris V.
En tant que femme, mon travail de recherche s'est naturellement tourné vers les problématiques du cancer du sein, de la féminité, de l'imge du corps, mais également de la sexualité, peu prise en compte durant le parcours de soins de cette maladie.
J'ai l'espoir qu'un jour, médecins et psychologues, soient mieux formés et plus aptes à répondre à cette réelle demande sexologique.
Pour cela, il m'est indispensable de poursuivre ma recherche et de pouvoir discuter avec vous de la pertinence de cette démarche.
Si vous souhaitez participer à cette recherche ou avoir plus d'informations,n'hésitez pas à me contacter.
Merci!
Je suis étudiante en Master de Psychologie.Je suis également en cours d'obtention d'un Diplome Universitaire de psycho-sexologie, dispensé par l'Université Paris V.
En tant que femme, mon travail de recherche s'est naturellement tourné vers les problématiques du cancer du sein, de la féminité, de l'imge du corps, mais également de la sexualité, peu prise en compte durant le parcours de soins de cette maladie.
J'ai l'espoir qu'un jour, médecins et psychologues, soient mieux formés et plus aptes à répondre à cette réelle demande sexologique.
Pour cela, il m'est indispensable de poursuivre ma recherche et de pouvoir discuter avec vous de la pertinence de cette démarche.
Si vous souhaitez participer à cette recherche ou avoir plus d'informations,n'hésitez pas à me contacter.
Merci!
Les Impatientes c'est maintenant aussi une association à but non lucratif !
Gardez à l'esprit que vous ne pourrez obtenir ici que des témoignages personnels et en aucun
cas un avis médical
Seules les personnes qui connaissent votre dossier médical et vos antécédents sont aptes à donner un avis éclairé.
Nous ne pouvons que vous encourager à entamer / approfondir le dialogue avec le corps médical qui vous suit.
Merci d'en tenir compte dans vos échanges.
Ces forums sont consacrés uniquement au cancer du sein. Pour les autres formes de cancer, nous ne sommes pas aptes à répondre à vos attentes.
Chaque personne doit garder à l'esprit ces quelques règles simples :
- Abstenez-vous de tout avis médical. Personne ici n'est médecin. Vous partagez votre vécu de la maladie, rien de plus.
- Ne citez pas de noms de médecin ou de laboratoire
- Postez dans le forum adéquat, vous aurez plus de chance d'avoir des réponses pertinentes.
- Soyez concises. Faites des messages courts, ou à défaut, denses. Donnez un titre signifiant à vos messages. Evitez les hors sujets qui seront supprimés
- Utilisez les adresses mail personnelles pour converser de manière privée. Pour parler de la pluie et du beau temps, pour donner des nouvelles, conversez par email. Demandez aux personnes à qui vous écrivez si elles sont d'accord pour entamer un échange par mail avant d'inonder leur boîte.
- N'incluez pas les gens, sans leur avoir demandé leur autorisation, dans des listes de distributions de blagues, d'images, de powerpoint, etc.
- D'une manière générale... soyez sympa :) Tout le monde a le droit de donner son avis et les avis différents du vôtre sont autorisés (si si :))) Traitez les autres comme vous aimeriez qu'on vous traite : avec écoute, respect et attention. Evitez les jugements de valeur. Tout emportement ou insulte seront immédiatement supprimés, ainsi que les réponses qui y seront faites.
Les impatientes : le premier réseau de femmes atteintes du cancer du sein.
Pour celles qui ne veulent plus subir la médecine en étant simples patientes,
pour celles qui ont envie de prendre leur santé en main, pour celles qui
pensent que la vie n'attend pas : c'est ici et maintenant.
Les Impatientes sont aimablement hébergées par Agarik depuis 2001.
